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[...] pour la première fois, au cours de la guerre, que je pus me rendre compte à quels prodigieux résultats peut conduire une propagande judicieusement menée. [...] Dans cette propagande de guerre ennemie, je me suis énormément instruit.
Adolf Hitler
Aucune classe n'est aussi stupide que cette prétendue bourgeoisie dans les affaires politiques.
Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens !
Pour nous le Parlement n'est pas une fin en soi mais bien plutôt le moyen d'arriver à nos fins.
L'Est sera pour nous ce que l'Inde a été pour les Anglais. Si je pouvais seulement faire comprendre au peuple allemand ce que cet espace représente pour l'avenir !
L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées.
D'après la loi éternelle de la nature, le sol appartient à celui qui le conquiert parce que les anciennes frontières n'offrent plus assez d'espaces à l'accroissement de son peuple.
La conclusion du concordat me paraît apporter la garantie suffisante que les citoyens du Reich de confession catholique se mettront dorénavant sans réserve au service du nouvel Etat national-socialiste.
Le Fuehrer est le Parti et le Parti est le Fuehrer. Juste comme je me sens moi-même une partie seulement du Parti, le Parti se sent lui-même seulement comme une partie de moi.
Les Anglais ont Shakespeare, mais, en dehors de cela, leur histoire ne contient que des énergumènes ou des nullités.
Quand on pense qu'un maître peut gâcher toute la vie d'un homme, il faut conclure que la direction d'une nation ne peut se baser sur l'enseignement scolaire. Il faut laisser à la vie la possibilité de corriger. La seule chose qui compte, c'est ce qui est réellement fait, pas la note...
A quoi bon enseigner la géométrie, la physique, la chimie à un garçon qui veut être musicien ? Qu'en retient-il ? Rien.
Ils sont d'une outrecuidance inouïe ces Anglais, mais je ne les admire pas moins ; nous avons beaucoup à apprendre à cet égard.
Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n'avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante.
Quelle catastrophe quand une femme se met à réfléchir aux problèmes de l'existence ! Comme elles peuvent alors nous porter sur les nerfs !
Jugez-moi, c'est vous que vous jugerez.
J'ai fait des discours sans discontinuer.
Celui qui reste indifférent à l'Histoire est comme privé d'ouïe ou de visage. Assurément, il peut vivre ainsi, mais qu'est-ce qu'une telle vie !
Aussi faut-il étudier les lois de la Nature pour ne pas agir contre elle, autrement, ce serait s'insurger contre le ciel. S'il me faut croire à un ordre divin, c'est celui-ci : préserver l'espèce.
Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues.
De quoi vivrait l'Eglise, si ce n'est du péché de ses fidèles ?
Berlin, en tant que capitale mondiale, ne pourra se comparer qu'à l'ancienne Égypte, à Babylone ou à Rome ; qu'est-ce que Londres, qu'est-ce que Paris à côté de cela ?
Je suis un ami des bêtes et j'aime particulièrement les chiens. [...] Quelles bêtes merveilleuses : intelligentes, attachées à leur maître, braves, sensibles et belles ! Un chien d'aveugle est une des choses les plus émouvantes qui soient. Il est plus attaché à l'homme que n'importe quel autre de son espèce. S'il va voir une amie, il revient tout de suite et avec la conscience mauvaise.
Toute propagande efficace doit se limiter à des points fort peu nombreux et les faire valoir à coups de formules stéréotypées aussi longtemps qu'il le faudra, pour que le dernier des auditeurs soit à même de saisir l'idée.
De nombreux exemples historiques prouvent que la femme, même la plus intelligente, est incapable de séparer, en politique, ce qui relève de la raison et ce qui relève du sentiment.
[...] politicien : cette sorte de gens dont l'unique et véritable conviction est l'absence de conviction, associée à une insolence importune et à un art éhonté du mensonge.
Une alliance dont les buts n'englobent pas aussi la perspective d'une guerre est dénuée de sens et de valeur.
C'est le christianisme qui a causé la perte de Rome. Ce ne sont ni les Germains ni les Huns.
Ma fierté, c'est que je ne connais aucun homme d'Etat dans le monde qui ait plus le droit que moi de se prétendre le représentant de son peuple.
A coté de celui de la femme, l'univers de l'homme est très vaste. Il appartient avant tout à son devoir et ne pense aux femmes que par intermittence. L'homme constitue l'univers de la femme. C'est aux autres choses qu'elle pense seulement par intermittence. La différence est considérable.
A l'époque où nos ancêtres fabriquaient des auges en pierre et des cruches en argile, autour desquelles nos archéologues font tant de bruit, on construisait une acropole en Grèce. [...] Les véritables représentants de la civilisation dans les derniers millénaires avant notre ère et dans le premier après, furent les Méditerranéens.
L'Angleterre a contraint Napoléon à faire la guerre, exactement comme avec nous. Si on ne le comprend pas, on ne rend pas justice à Napoléon.
Le succès est le seul juge ici-bas de ce qui est bon et mauvais.
Les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive.
Les guerres passent. Seules les oeuvres de la culture ne passent pas. D'où mon amour de l'art. La musique, l'architecture ne sont-elles pas les forces qui montrent le chemin à l'humanité montante ? Quand j'entends du Wagner, il me semble percevoir le rythme du monde antérieur.
Il n'existe aucun être, aucune substance mais, non plus, aucune institution humaine qui ne finisse par vieillir. Cependant, chaque institution doit se croire éternelle, sous peine de s'abandonner elle-même. L'acier le plus dur s'amollit, tous les éléments se désagrègent. Aussi surement que la terre aura sa fin, toutes les institutions trouvent un jour la leur.
Si le Duce mourrait, ce serait un grand malheur pour l'Italie. Quand on circule avec lui dans la villa Borghèse et qu'on le compare avec les bustes romains, on pense immédiatement : c'est un César ! Il a certainement en lui l'héritage d'un des grands hommes de cette époque.
Quand notre parti ne comptait encore que 7 membres, il exprimait déjà deux principes : premièrement, il voulait être un véritable parti idéologique ; deuxièmement, il ne tolérait aucun compromis dans l'exercice du seul et unique pouvoir en Allemagne.
C'est un fait que nous sommes de faibles créatures, mais aussi qu'il existe une force créatrice. Vouloir le nier, c'est de la sottise. Celui qui croit à quelque chose de faux est encore au-dessus de celui qui ne croit en rien.