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À Canal +, pendant une bataille d'extincteurs avec Pierre-Emmanuel Barré, je me suis ouvert le crâne.
Ali Baddou
C'est comme les histoires d'amour, il y a souvent des débuts et encore plus, très souvent une fin et en l'occurrence j'en ai gardé de bons souvenirs.
Quand vous succédez à quelqu'un, c'est votre style qui prime.
J'ai quitté Canal sans rancune.
Je suis civilisé et pudique. Mais j'ai aussi mes moments de folie.
J'ai le cuir assez épais. Et les querelles entre animateurs me semblent dérisoires.
Je suis flatté et enthousiaste d'être sur France Inter et sur France 3 dans un programme exigeant et ambitieux.
J'aime quand les extrêmes se rencontrent.
Ne méprisez jamais personne. Regardez celui qui est au-dessus de vous comme votre père, votre semblable comme votre frère, et votre inférieur comme votre fils.
Je me fous des paillettes. Quand je suis arrivé au "Grand Journal", j'assurais parallèlement la matinale de France Culture.