Images
On ne peut pas édifier un amour sur le mensonge. C'est impossible !
Alice Parizeau
Je bouffe, je dors, je fais l'amour, et je recommence.
Il n'est pas vrai qu'il faut souffrir pour créer. Il suffit de savoir comprendre.
Je veux aimer et être aimée d'un homme qui n'aura qu'un objectif ; celui de me rendre heureuse.
Il s'est fâché et il m'a dit que seul Dieu a le pouvoir de décider de la vie et de la mort. Aucun humain ne peut prétendre, par conséquent, d'être autre chose qu'un instrument entre ses mains.
Les intellectuels sont des impuissants qui rêvent de confort en prétendant le contraire.
Il n'y a pas pire malade qu'un médecin !
J'ai rencontré dans ma vie des voleurs. Des vrais ! C'est un sale métier et il faut s'y connaître pour réussir, sinon, on finit derrière les barreaux. Moi aussi, j'ai volé. Pas de l'argent. juste un peu de bonheur et, vois-tu, j'ai payé.
Et puis, l'amour, cela se vit, mais cela ne se raconte pas. Personne ne peut profiter de l'expérience d'un autre.
On ne remerciera jamais assez les hommes qui ont décidé de devenir prêtres, de sacrifier beaucoup pour apporter aux autres une certaine forme d'amour et qui y sont parvenus à force de sagesse, d'humanisme et d'un sens profond de la philosophie chrétienne.
La meilleure façon de surmonter le chagrin, de désamorcer le drame, de dominer ses propres peines et faiblesses du corps, c'est de travailler et d'étudier.
Le travail, c'est la plus grande bénédiction que Dieu a donné à l'homme.
On efface le passé pour mieux détruire l'avenir.
Les parvenus, c'est la pire race qui existe sous le ciel. Par contre, une jolie femme saurait infiniment mieux s'adapter. - Au diable les femmes ! A soixante ans, on ne peut plus espérer grand-chose. Juste un peu de sympathie.
Ils entrent à l'hôpital, on les soigne, ils retournent chez eux, on les maltraite et ils reviennent à l'hôpital... C'est sans doute cela la médecine sociale.
L'inconscience est l'apanage de la jeunesse, mais elle ne se justifie que dans la mesure où le but vaut le risque qu'on encourt.
L'enfer est en nous. Nous le portons au fond de nous-mêmes et nous le subissons chacun à notre manière.
Je t'aime, disait Richard. Je t'aime comme un fou. Quoi qu'il arrive, ne doute jamais de mon amour. Etroitement serrés l'un contre l'autre, ils oublièrent le monde et la nuit.
Je suis sous le charme parce qu'elle est très belle. Si elle disait les mêmes choses tout en étant laide et vieille, je ne réagirais pas de la même façon.
La vengeance est une bassesse par définition et vise à salir l'autre, même si c'est l'être le plus cher au monde.
Il y a de l'ironie dans sa voix et il s'en rend compte. L'ironie demeure pour lui une sorte de bouclier protecteur contre le ridicule. Or il ne veut surtout pas être ridicule.
Tout être humain est un amalgame complexe formé de l'enseigne-ment reçu, des événements vécus et des prédispositions génétiques particulières à son clan, sa famille, son pays, leurs traditions et leurs ancêtres.
Beaucoup de gens ont du talent, mais seul le travail permet de faire carrière.
Il faut apprendre à oublier. Sans ça, l'existence devient impossible.
Ce qui est le plus important dans la vie, c'est de donner à quelqu'un un peu de bonheur.
A soixante ans, on ne peut plus espérer grand-chose. Juste un peu de sympathie bienveillante. Un peu de pitié aussi, avant qu'on ne vous indique qu'il serait décent de disparaître pour laisser la place à un Roméo plus jeune.
Pourquoi écrit-on ? Parce qu'on éprouve un besoin impossible à combler autrement. Mais parfois, à un croisement de chemins, on s'arrête et on se met à réfléchir.
Jeux de joie, jeux de désespoir... Les uns deviennent parfois les autres...
Penses-tu qu'on peut vivre sans croire ? - Oui. A condition de vivre pour quelqu'un.
Je t'aime comme un fou et je suis là pour te porter dans mes bras aussi longtemps que tu voudras accepter ma présence à tes côtés.
Les maladies sérieuses, c'est pour ces merveilleuses personnes minces et élancées comme des lianes !
Le bonheur et la chance vont de pair.
Pour réussir, il faut savoir être généreux.
Quand on étudie l'histoire, on s'aperçoit que ce sont les individus qui font avancer les collectivités.
L'amitié est une force, un univers intime qu'il est difficile de raconter et de décrire, un monde en soi dans lequel on pénètre sur la pointe des pieds pour ne pas la déformer ou l'abîmer d'un mot, d'une phrase, d'une remarque inconsidérée.
Il n'y a que deux façons de vaincre le cancer : aimer et continuer à sourire quoi qu'il advienne.
L'art de réussir consiste à savoir faire travailler les autres.
Etre libre et seul, c'est oublier le temps présent. C'est retrouver en soi un univers à part qui vous appartient en propre et que vous n'avez livré à personne.
Le suicide est en quelque sorte à la mode dans notre univers où l'affirmation de soi passe par la négation d'une certaine vision chrétienne de nos droits et de nos devoirs.
L'argent doit être constamment en mouvement. Il est ridicule d'épargner. Il faut investir.
Entre compatriotes il faut savoir se donner un coup de main.
Rien ne reflète mieux l'âme des gens que le cadre dans lequel ils vivent.
Le bonheur c'est tellement plus léger à porter qu'une existence raisonnable et convenable.
L'école : une serre où l'on apprend aussi la cruauté et la bêtise des autres.
L'amour, ce n'est pas de la soumission aveugle, c'est une union victorieuse de deux êtres qui vont ensemble vers quelque chose qui n'appartient qu'à eux.
Vous êtes jolie femme et n'oubliez pas que, pour le rester, il faut apprendre à le savoir.
Il y a des sentiments qu'on ne peut exprimer avec des mots.
Les mots sont aussi nécessaires aux gens que le pain.
Les premiers de classe qui se prennent au sérieux sont des cancres qui s'ignorent.
Il ne faut jamais capituler, jamais abandonner parce que c'est une forme d'impuissance, la pire des calamités du monde.