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À Chambéry, au temps de mon adolescence, on parlait déjà du fossé entre les générations.
André Dussollier
Truffaut m'avait dit que j'étais le seul comédien avec Michel Bouquet, qui répétait ses scènes après les avoir jouées !
J'en apprends souvent plus en suivant des débats entre journalistes qu'en écoutant des politiciens prisonniers de formules toutes faites.
L'éducation devrait être la priorité : donner aux gens la possibilité de s'exprimer, de dire ce qu'ils ressentent.
Mon grand faible est aux portes de Paris : rien ne vaut une partie de foot entre copains et enfants le dimanche dans le parc de Sceaux.
Aller au théâtre est très important : entendre des choses rares, belles, profondes, est très enrichissant. C'est la vie redessinée.
Je m'octroie sur le tard le droit de faire ce que j'aime.
Grâce à la fiction, au cinéma, au théâtre, nos propres vies s'éclairent et prennent une richesse colossale.
Trop de jeunes sont laissés dans un abandon culturel, à un âge où on a envie de se donner des idéaux.