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L'amour est le paroxysme à la fois de la joie et de la douleur. J'avoue que, dans les périodes de tourment, je peux hurler à la mort, mais toujours en me cachant.
Arielle Dombasle
Il n'y a pas d'amour sans douleur.
Enfant, je voyais que maman pleurait souvent et semblait garder un secret.
Je voulais vivre intensément, avoir une existence commandée par la passion, le romantisme et ses excès. Les passades et les flirts n'ont jamais été mon fait.
Nos vies sont tumultueuses. Parfois, à trop glisser sur le toboggan de la passion, je prie pour avoir un peu de répit.
Ma mère était d'une extrême docilité, elle vivait dans la dévotion de mon père. C'est elle qui lui avait fait découvrir le Mexique, qui l'avait, peut-être, rendu un peu fou.
Bizarrement au Mexique y a pas de Tour de France.
Snobisme. C'est un partage savant entre ce qui doit se faire et ce qui ne doit pas se faire. C'est une étiquette permanente. Le bon mot, le geste qu'il faut, quand il faut.
Lorsque j'ai rencontré Bernard-Henri, en regardant son visage de christ tourmenté, je me suis dit : il n'y a que moi qui puisse le sauver !
Bernard-Henri n'est pas mon confident et je crois être restée une énigme pour lui. Mais je lâche mes démons dans ma vie d'artiste.
J'aime les femmes, et j'adore être une femme, je trouve que c'est merveilleux d'être une femme.
Non, en amour, rien n'est jamais acquis. Il faut aussi accepter de traverser les enfers, car dans tout amour existe une part d'enfer.
J'ai décidé très jeune de réussir ma vie, de ne pas avoir d'enfants, de n'abandonner jamais personne.
Vivre au Mexique m'a offert un poumon supplémentaire.