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Je suis la femme de Jacques Chirac et quand on est la femme de Jacques Chirac, c'est toujours facile de réaliser un certain nombre de choses et de prendre des responsabilités.
Bernadette Chirac
La vieillesse, le général de Gaulle l'avait dit, c'est un naufrage.
Heureusement qu'on vous a ; et, en plus, je suis sincère.
Les femmes sont cette deuxième moitié du ciel qui constitue, sans discussion possible, la deuxième moitié de la terre.
Tous les hommes qui ont du pouvoir ou une très grosse fortune attirent les femmes.
Le manque d'amour du prochain ne peut déboucher que sur une société d'égoïsme et de désespoir.
Aimer, c'est forcément être optimiste.
Je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il fasse de la politique. Comme disait mon père : La politique, vraiment, n'était pas dans le contrat de mariage.
Quand on est la femme de Jacques Chirac on ne peut pas rester trop effacée ! Ou alors on court le risque d'être écrasée. Que voulez-vous, je n'aime pas être écrasée.
Les papillons tournaient autour de la lampe, hein. Et j'en ai eu, j'en ai eu des inquiétudes et des chagrins, même. Tous les hommes qui ont dû pouvoir ou une très grosse fortune attirent les femmes.
Est-il donc si utopiste ou réactionnaire de prôner l'attachement aux valeurs de la patrie ?
C'est un homme extraordinaire qui a eu une réussite exemplaire, qui a fait tellement de choses pour tellement de gens, qui a réalisé tant de projets...
Je ne l'ai pas beaucoup côtoyé à l'Elysée, on peut ne pas prendre le même escalier.
Juppé ? Qu'est-ce qu'il a à voir avec Nicolas Sarkozy ? Lui est très, très froid. Il n'attire pas les gens, les amis, les électeurs éventuels...
Il va comme un homme de 79 ans, qui aura 80 ans le 29 novembre. La vieillesse, le général de Gaulle l'avait dit, c'est un naufrage.
Ils travaillent jour et nuit ces Chinois. Jour et nuit... En France, on dort. Il faut arrêter cette décadence du travail.
Il me manque toujours du temps. Comme la tortue, je me hâte avec lenteur.