Images
J'adore les acteurs physiques, qui ne sont pas juste dans le texte et dans l'intellect.
Carole Laure
Tu ne peux pas devenir cinéaste et ne pas t'intéresser à chacune des étapes. Le cinéma, c'est l'écriture, le tournage et le montage, puis ensuite la mise en marché. Si tu veux en faire, il faut que tu comprennes chaque étape.
N'importe qui qui traverse un premier rôle au cinéma avec un bon metteur en scène apprend tout de suite.
Quand on écrit, on parle de soi.
On parle beaucoup de la violence ailleurs, de la pauvreté dans d'autres villes, mais on ne regarde pas ce qu'il y a autour de nous.
A 20 ans, on ne se trouve pas beau, on veut tous se faire refaire le nez, ceci ou cela, même si on est parfait.
Je trouve ça triste, un cinéma qui ne voyage pas, qui reste sur place.
On se révèle quand on écrit un scénario, n'importe quelle écriture, un livre, un scénario, un article. Actrice, tu es dans un rôle, tu es protégée.
Tu ne peux pas exister dans tant de rôles sans être une bonne actrice.
Les acteurs intelligents, ils te donnent plus que ce que t'as écrit, ils habitent le rôle, c'est extraordinaire !
Les plus grands traumatismes, pour n'importe qui au monde, ce sont des traumatismes familiaux.
Faire des choses travaillées, c'est plus intéressant que de faire de la facilité.
La seule chose qui m'importait, moi, dans mon physique, c'est que c'était la seule chose que je savais de mes parents. C'est tout.
J'avais trois soeurs : une infirmière, une couturière et une cuisinière. Donc, j'avais trois fées au-dessus de la tête.
Un film, c'est bien beau d'arriver à le faire, mais ton plus grand rêve, c'est qu'il soit vu.
L'écriture d'un film se termine au montage.