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O patience, tu portes un couteau à deux tranchants pour couper et déraciner la colère et l'orgueil, car la moelle de l'orgueil est l'impatience.
Catherine de Sienne
Les membres du corps eux-mêmes se portent assistance lorsque l'un d'entre eux est malade. Il n'y a que l'homme orgueilleux qui dédaigne de porter assistance à son semblable.
O Toi, Trinité éternelle, mer profonde dans laquelle plus je pénètre, plus je te trouve, et où plus je te trouve, plus je te cherche !
La vie est un pont : traversez-la mais n'y faites pas votre demeure.
La patience est la moelle de la charité.
Il n'y a que les imparfaits qui regardent plus au don qu'au donateur.
O combien douce à l'âme et combien agréable à Dieu l'oraison sainte faite dans la cellule de la connaissance de soi-même et de Dieu, l'oeil de l'intelligence grand ouvert aux lumières de la foi, le coeur tout rempli de l'abondance de la divine charité.
En se détachant d'elle-même, une âme éprise d'un très grand désir de l'honneur de Dieu et du salut des âmes s'exerce à la vertu.
On ne fait qu'un avec son ami. On ne fait pas qu'un avec son maître.
L'âme ne peut vivre sans amour, il lui faut toujours quelque chose à aimer puisque c'est par amour que Dieu l'a créée.
A la lumière de la foi, j'acquiers la sagesse en la sagesse du Verbe de ton Fils ; à la lumière de la foi, je suis forte, constante, persévérante ; c'est à la lumière de la foi que j'espère ; elle ne permet pas que je me trompe de chemin.
Tu es ce qui n'est pas. Je suis ce que je suis.
Qu'est-ce qui nous rend forts et persévérants ? L'oraison humble et continuelle faite dans la cellule de la connaissance de soi-même et de la bonté de Dieu en soi.
Pour l'homme courageux, chance et malchance sont comme sa main droite et sa main gauche. Il tire parti de l'une comme de l'autre.
C'est la voie du Christ crucifié qui nous donnera toujours la lumière et la grâce. Mais si nous suivons une autre voie, nous marcherons de ténèbres en ténèbres et finalement à la mort éternelle.
O flamme ardente et attirante, qui échauffe, et de nous éloigne toute la froideur du vice, du péché, du propre amour de nous-mêmes. Cette chaleur réchauffe et enflamme le bois sec de notre volonté.