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Il faut se débarrasser des casse-tête. On ne vit qu'une fois.
Charles Aznavour
Plus bleu que le bleu de tes yeux, Je ne vois rien de mieux, Même le bleu des cieux.
Dans toute chose, je sais m'arrêter, c'est ça le secret.
La revanche des vers.
Les autres me parlent de faire un stade de France ou la tour Eiffel mais c'est non. Je serai centenaire et c'est tout... On ne va pas aller plus loin !
La plus belle pierre tombale ne couvre qu'un cadavre.
Je veux qu'on retienne mes chansons. Pas toutes, mais quelques-unes. Car il y en a que je trouve moins importantes que d'autres...
J'étais persuadé que j'y arriverais parce que je faisais ce qu'il fallait pour réussir.
Je suis un survivant merveilleusement heureux.
Il faut boire jusqu'à l'ivresse sa jeunesse Car tous les instants de nos vingt ans nous sont comptés Et jamais plus le temps perdu ne nous fait face.
Je suis boulimique. Si j'arrête la scène, je meurs. Vous croyez que ça m'amuse de mourir ? J'y pense depuis l'âge de 15 ans.
J'ai l'amour à fleur de coeur qui me fait souffrir sans trêve lorsque tu rêves paisiblement, toi mon tourment, toi ma douleur.
Par le temps que je prends - Pour ne penser qu'à toi - Par mes rêves de jour - Où tu règnes en idole - ... - J'en déduis que je t'aime.
Piaf, c'est l'une des plus grandes époques de ma vie. J'ai appris énormément de choses à travers elle.
La modernité ce n'est pas d'être moderne. C'est d'être de son temps.
Nous nous reverrons un jour ou l'autre Si vous y tenez autant que moi Prenons rendez-vous Un jour n'importe oùJe promets qui j'y serait sans faute Noël comme la Pentecôte A Rio de Janeiro ou à Moscou.
Nul n'a le droit, en vérité, de me blâmer, de me juger C'est bien la nature qui est seule responsable Si je suis un homo, comme ils disent.
J'ai arrêté de boire, de fumer, notamment, car je voyais des personnes importantes se détériorer.
Au niveau santé, je n'ai toujours pas eu d'ennui. J'ai juste des brisures et ce n'est pas fini.
Je m'voyais déjà en haut de l'affiche
Piaf me manque. C'était ma seconde soeur. Johnny, il faisait partie de la famille.
On vient du malheur et on va vers le bonheur. C'est comme ça qu'il faut voir les choses.
L'amour s'en vient, l'amour se meurt A peine un rire et puis des pleurs Et le silence autour de moi Le souvenir qui naît déjà L'amour était si beau près de toi.
Je n'aurais sûrement pas été ce que je suis si j'avais été "Américain".
Emmenez-moi au bout de la terre Emmenez-moi au pays des merveilles Il me semble que la misère Serait moins pénible au soleil.
J'habite en Suisse et je trouve déplorable que l'on dise "Ah oui, il est parti en Suisse".
On ne m'a jamais rien donné, pas même mon âge.
Le hasard souvent fait bien les choses Surtout quand on peut l'aider un peu Une étoile passe, et je fais un voeu Nous nous reverrons un jour ou l'autre Si Dieu le veut.
Le piratage ne peut que tarir les imaginations et, pire, enterrer définitivement toute velléité de création.
Si j'avais été blond aux yeux bleus, grand et élégant avec une voix pure, je n'aurais pas fait la même carrière
On me disait que ma voix n'était pas bonne.
Dans tes yeux tendres et ton corps chaud, de ces rivages, j'ai dans la peau ton doux visage.
Aime-moi comme tu n'as jamais aimé ; aime-moi aussi fort que je t'aime.
Il faut faire des efforts pour aller vers le bonheur, s'oublier et avoir toujours de l'optimisme.
Toi et moi Deux coeurs qui se confondent Au seuil de l'infini Loin du reste du monde.
Je veux vivre avec toi, avoir le même empire ou les mêmes malheurs échangent des sourires.
Je suis le seul chanteur de 93 ans et j'en suis fier.
Dans mon métier, je suis le roi des emmerdeurs.
Un des plus beaux cadeaux que nous ait fait la vie - c'est quand notre prénom a l'air d'un mot gentil.
Je suis un homme à l'esprit et au coeur ouverts.
Avec ton sourire au coin de tes lèvres - Avec ton regard comme rempli de fièvre - Tu sembles sortie des mains d'un orfèvre - Et je ne peux que t'aimer mon amour.
Tu fermes les yeux pour oublier, moi pour me souvenir
Quand on n'avait rien à manger à la maison, mon père disait : "Ce n'est rien, Dieu nous le rendra." Et il nous l'a rendu au centuple. On n'était pas particulièrement croyants, mais la phrase nous donnait de l'espoir.
Il fallait bien En payer le prix Et mon chagrin Vient de briser ma vie.
Chez nous, les parents cherchent tellement à rester jeunes qu'ils oublient de transmettre leur passé à la jeunesse.
La mort ? Je suis prêt.
Au début de l'année, on m'a tellement emmerdé que je me promenais avec ma feuille d'impôts dans la poche ! Et je la sortais : "Regardez ce que j'ai payé !"
J'ai chanté plusieurs chansons en anglais mais j'avais mis un pupitre sur scène et je lisais ma chanson.
Moi, je ne peux pas ne pas vivre et je vis en scène. Je suis heureux en scène et ça se voit.
Le succès n'est que l'expression d'une vaste hallucination collective.
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