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Ce sont des intellectuels - Y en a partout en ribambelles - Des vrais des faux en parallèles - Quel beau mélange !
Charles Trenet
Fidèle, fidèle, je suis resté fidèle...
Larmes d'amour au soleil envolées - Mini chagrin de vacances - Larmes d'amour qui savent si bien tomber - Qu'elle ne tombent jamais - En trop grande abondance.
Soyez heureux Avec le peu de science Qui rend joyeux Les braves gens sans méfiance.
Pour s'aimer bien, Il existe de tendres liens Qui font goûter les moments exquis, La minute douce où l'on dit : Je n'aime que toi, chéri...
Un petit village Un vieux clocher Un paysage Si bien caché Et dans un nuage Le cher visage De mon passé.
Quand notre coeur fait Boum Tout avec lui dit Boum Et c'est l'amour qui s'éveille.
J'aime le son du cor - J'aime le corps du son - J'aime le sort du con le soir au fond de moi...
À toi ma vie, ma tendresse, à toi mon coeur pour toujours.
A force d'être gentil, on finit par être suspect.
Tu viens chanter, malgré l'orage A ce balcon qui reste sourd Mais ton amie est en voyage Pauvre swing Troubadour.
Un peu d'oubli ne fait pas de mal en toutes choses Et trop de génie vous rend parfois morose.
La vie n'est pas méchante. Il n'est rien de meilleur.
Par leurs chants et leurs cris. Ils font bien plus de bruit Que les autos, Les oiseaux.
Bleue, bleue, notre enfance Fut un paradis : On s'en aperçoit bien trop tard aujourd'hui.
Mais les jours passés Revivent on le sait Dans un pays que rien n'efface On garde le meilleur Tout en berçant les regrets.
Le dimanche, les enfants s'ennuient. Vienne vienne la semaine, Lundi mardi jeudi, Car la rue est toujours pleine De lumière et de bruit !
Oublie tes dangereux "je t'aime" Leur temps n'est plus car d'autres lois S'imposent à nos coeurs sans amour et sans foi.
Ne pensez pas à l'automne. Il viendra bien à temps, tout comme l'hiver. Profitez au contraire du bonheur que vous donnent Les vrais beaux jours sous les grands arbres verts.
Rêve sans crainte amour de mon coeur Que seule ta plainte soit de bonheur Rêve sans nuage amour de ma vie Les rêves sont les héritages de la nuit.
Autant d'oiseaux au monde Autant de lettres d'amour Que le facteur apporte Et glisse sous les portes C'est le courrier du coeur Le courrier du bonheur.
Le coeur de Paris, c'est une fleur, Une fleur d'amour si jolie Que l'on garde dans son coeur, Que l'on aime pour la vie.
Quoi que l'on dise, quoi que l'on fasse, Le temps s'enfuit et tout s'efface.
Mon coeur s'envole vers toi - Et tout seul tendrement je revois - Le temps si court - De ton dernier séjour - Où tous deux nous vivions notre amour...
Ding ! Dong ! Ecoutez la cloche Un' voitur' s'approche Aïe donc ! La cloche a fait Ding Dong ! Ding ! Dong ! C'est la cloche funèbre, Le glas des ténèbres Aïe donc !
La nouvelle génération n'ose plus dire qu'elle fait des chansons : on fait des "titres". Je ne sais pas s'ils sont cotés en Bourse !
Il faut se lever, se laver, se vêtir. Et ne plus chanter si l'on n'a plus rien à dire.
L'amour est un petit bateau Qui s'en va, tout joyeux, sur l'onde, Voguant vers des pays nouveaux Au hasard de sa course vagabonde.
Nous, on savait que la vie peut parfois être brève - Nous, dans nos rêves - On savait, c'est pour ça qu'on rêvait - On rêvait.
Il suffit d'un regard, D'un aveu, d'une chanson Pour comprendre l'amour. Il suffit de ces riens Pour faire des beaux jours.
Je suis ta joie Et je suis aussi la jeunesse. Cheveux d'or en boucle d'amour, A toi ma vie, ma tendresse, A toi mon coeur pour toujours.
Les rêves prolongent Du bonheur le doux sentiment.
On n'est jamais celui que l'on voudrait paraître - Pas plus qu'on n'est jamais celui que l'on parait.
Longtemps, longtemps, longtemps Après que les poètes ont disparu Leurs chansons courent encore dans les rues.
On parle trop souvent du bonheur. La seule chose qui toujours nous enivre Se banalise dans sa douceur.
Il y aura toujours des gens qui n'aiment pas la jeunesse, Pour qui d'avoir vingt ans et de vivre sans un sou Est un péché dont le bonheur les rend fous.
En souvenir de toi tendrement je fredonne - Cette chanson d'amour dont le refrain si doux - Nous parlait du Printemps, à présent c'est l'Automne - Je me souviens de toi, je me souviens de nous...
Rien à cirer, adieu tristesse - Adieu les mauvais jours - Bonjour le temps de la jeunesse - Et de l'amour.
Je suis toujours content - Toujours content... de fout'le camp - Et de partir le nez au vent - Pour n'importe où, n'importe quand - N'importe comment.
Temps incertain - D'une jeunesse qui passe, - Temps incertain soir et matin...
Je fais des chansons comme un pommier fait des pommes.
Prenez le temps de chanter, De rire, de vous amuser. Tout le monde sait bien qu'après tout la vie Est souvent jolie Quand on la prend du bon côté.
Et chacun porte dans son coeur Un écho de son bonheur Qui rend la vie sur terre Plus troublante dans ses mystères.
C'est un mystère qu'on n'explique jamais Pourquoi sur la terre d'Afrique Le Bon Dieu est-il blanc ?
Ne publiez pas vos poèmes, chantez-les !
Tiens, c'est vite passé - La pluie viens de cesser - Seule sur ton nez - il y a encore chérie, - une petite goutte de pluie.
Swing Troubadour, Ton destin, swing Troubadour, C'est d'chanter le bonheur Même si ton p'tit coeur est bien lourd.
Laisse courir encore comme autrefois - Couraient sur un beau corps tes jeunes doigts... - Ajoute une émotion - Un éclair de passion - Laisse courir tes doigts sur ta chanson - Eternise l'instant, - Passager clandestin, - Laisse courir le temps - Sur ton destin.
La ville est comme un grand manège Dont chaque tour nous vieillit un peu.
J'aime la pub, son look, sa cadence - Si j'titube c'est parc'que je danse - Dans ce monde priviligié - D'la pub ou l'bonheur pour nous s'est réfugié !