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Ecrire n'est pas un métier. C'est une vocation.
Claude Jasmin
Voyager, être à l'étranger, très loin de chez soi, c'est comme assister à un film. Ça se fait en silence.
Une photo vaut mille mensonges !
La modestie des orgueilleux est odieuse, insupportable.
On est ce qu'on aime. On est ce dont on se souvient.
On est toujours trompé par quelque chose, l'important est de ne pas se tromper soi-même.
Si on ne désire plus, c'est le désir qu'il faut soigner. Chercher l'amour en vous, pas chez les autres. Vous le leur apporterez après.
Celui qui n'a pas peur, qui n'a peur de rien est un imbécile. Ou un désespéré.
Les gens tristes ont les plus beaux sourires.
Le mariage, c'est certain contient beaucoup d'inconvénients mais il classe un homme.
La pire des prisons : ne pas pouvoir s'exprimer. S'expliquer.
Vous savez, personne n'est responsable de ses parents. La naissance est un hasard.
La sexualité de la future femme, du futur homme, à ses balbutiements, est la pierre d'assise de la personnalité humaine.
Sans illusions à perpétuité, que serions-nous donc ? C'est l'espoir qui nous mène, qui nous tient en vie.
Gardons l'esprit libre, c'est l'unique quiétude, la vraie, la seule vraie.
Toute la vie n'est qu'une série d'échéances bonnes ou mauvaises.
Les gens les plus sages font toujours les folies les plus graves.
Le rêve est nécessaire quand s'achève à jamais le temps de l'adolescence.
Le théâtre est un métier d'enfance et de lumière.
C'est le pire des égoïsmes, cette stupide quête de l'amour.
La liberté est dans le geste : écrire. Emprisonnés même, on peut encore écrire sur les murs, faire signe de liberté.
Les vieux perdent l'orgueil en chemin ; c'est vrai que c'est inutile la fierté.
La race ? Cela se passe de mère en fille, de père en fils, comme un secret bien gardé.
La jeunesse tisse ses mythes généreusement.