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En ce qui me concerne, le goût de l'aventure a toujours été plus fort. Je ne tiens pas en place, ma base, c'est le mouvement.
Claude Lelouch
La mémoire fait à notre place des choix qui façonnent nos personnalités et font de chacun de nous le reflet de ce que son cerveau a emmagasiné.
On voit très bien, dans ce type de pays, que le monde marche inexorablement vers une révolution des pauvres contre les riches. C'est flagrant. La richesse est devenue une insulte à la misère.
La guerre est un formidable concentré des passions humaines.
À court terme, nous avons tous plus ou moins ce que nous méritons. L'injustice règne, mais, avec le jeu des compensations, les riches ne sont pas à l'abri des soucis, les gens beaux ne sont pas à l'abri d'être cocus… Il n'y a pas de sécurité.
Cannes, c'est d'abord un escalier : un escalier facile à monter... difficile à descendre.
Le vrai plaisir de la vie, ce sont les surprises, les bonnes et les mauvaises.
S'il n'y avait que du bien, on s'ennuierait à mourir. Le vrai plaisir de la vie, ce sont les surprises, les bonnes et les mauvaises.
Les marchands de vérité ont toujours connu d'éphémères victoires.
Les oeuvres les plus belles sont les plus simples.
Pendant la guerre, pour mon anniversaire, ma mère m'avait offert une banane et une orange. C'était énorme, aujourd'hui, on ne peut expliquer cela à un enfant. J'ai vu cette banane, je l'ai épluchée, je l'ai mangée, puis j'ai mangé l'orange. Je me souviens encore de ce cadeau formidable.
Il n'est pas de drame auquel la vie ne puisse donner les couleurs de l'espoir.
Le public est le capital d'un cinéaste indépendant.
Plus l'adversité est grande, plus l'envie de convaincre l'est aussi.
Ceux qui nous aiment, même sincèrement, ne peuvent s'empêcher de se repaître de nos malheurs.
C'est ça l'angoisse : il n'y a plus de bons ni de méchants, il y a de beaux et de mauvais jours.
On a toujours tort de désespérer de la nature humaine.
L'essentiel n'est jamais là où on le croit.
Après un succès, toutes les idées sont bonnes. Après un échec, même les meilleures sont accueillies avec scepticisme.
Si les plus belles années d'une vie sont celles qu'on n'a pas encore vécues, ça veut dire que c'est formidable de vieillir. Et depuis que j'ai lu cette phrase, toutes les années qui ont suivi ont été plus belles que les autres.
La mort est un sommeil à l'échelle de l'univers.
Tout ce que l'on réussit, on le rate d'abord.
Ce sont toujours les médiocres ou les désespérés qui s'associent, les stars et les gagnants n'ont besoin de personne.
La supériorité de l'instinct sur l'intelligence est indéniable mais la culture et la civilisation nous ont éloignés de l'instinct.
Je devais avoir une trentaine d'années la première fois que j'ai lu cette phrase de Victor Hugo : "Les plus belles années d'une vie sont celles que l'on n'a pas encore vécues" et je me suis dit qu'elle était formidable. J'ai toujours trouvé que cette phrase devrait être un modèle de la façon dont il faut vivre.
Dans l'histoire du cinéma, tous les films qui parlent de la vie sont des exemples
J'aime la vie, c'est le plus grand scénariste du monde, le plus incroyable, mon scénariste préféré. Le cinéma, c'est la vie en mieux. On y rencontre les personnages de la rue en plus beaux, plus intelligents, plus sexy. Comme des modèles améliorés, réussis et performants. Dans l'histoire du cinéma, tous les films qui parlent de la vie sont des exemples.
La représentation est un élément essentiel de la communication.
Nous sommes tous des chasseurs. Des chasseurs de femmes, de succès, de relations. Des traqueurs de vie aux aguets qui en oublient de songer à eux-mêmes.
Ca ennuie les femmes de parler de choses techniques.
Au cinéma, le mauvais temps est terriblement photogénique, parce qu'il est dangereux.
La richesse est devenue une insulte à la misère.
Le jour donne la force à la nuit, la nuit donne la force au jour. Il faut des salauds et des braves gens, des tricheurs, des violeurs. S'il n'y avait pas de violeurs, on n'apprécierait pas autant ceux qui ne violent pas, ceux qui respectent l'autre.
Le mensonge est une option à laquelle tout un chacun a droit, à condition de le rembourser un jour.
J'ai trois grands amours : la vie, les femmes et le cinéma.
N'écoutez pas les critiques, prenez des risques.
Avec un bateau, il y a deux moments de bonheur : le jour où on l'achète et le jour où on le revend.
Les premières fois, dans tous les domaines, voilà ce qui m'excite.
Les cinéastes ne sont pas des marques de confiture ou des couturiers à la recherche du vent qui passe.
Il faut savoir être bon perdant. Les bons perdants fabriquent les gagnants de demain.
Malgré toutes les horreurs, au travers de toutes les tragédies, l'humanité progresse.
Il n'y a pas des spectateurs pour rire et des spectateurs pour penser mais des hommes et des femmes qui ont le talent de faire les deux à la fois.
Vie : Je suis dans les prolongations, j'espère bien faire les tirs au but.
POLITIQUE : J'ai toujours été un homme du centre. Je veux me laisser la possibilité de prendre les bonnes idées là où elles se trouvent, et elles se trouvent partout. À gauche comme à droite.
VIE : J'aime le suspens, j'aime les surprises, je ne demande pas à l'ouvreuse de me raconter la fin du film : je crois à la force du présent comme seule valeur sûre de la vie.
La mémoire raconte l'histoire du monde à travers son interprétation des événements.
L'échec est l'engrais de la vérité.
Le seul diplôme qu'exige le cinéma est l'amour de la vie et le courage de prendre des risques.
L'action est le moteur de tout, puisque le simple fait de faire les choses les rend possibles.
Le cinéma, c'est la vie en mieux. On y rencontre les personnages de la rue en plus beaux, plus intelligents, plus sexy. Comme des modèles améliorés, réussis et performants.
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