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Vous ne devez pas traîner le souvenir de l'Homme comme un boulet.
Clifford Donald Simak
Peut-être les cerveaux des créatures terrestres sont-ils naturellement lents et brouillons. Peut-être sommes-nous les demeurés de l'univers.
Le besoin de chaque être humain est de se sentir approuvé par ses semblables.
Il y avait pour l'homme une route et une seule : celle de l'arc et de la flèche.
Nous avons commis le délit d'utiliser notre intelligence à autre chose qu'à nous comprendre.
L'homme n'était pas seul. Pour peu qu'il s'engageât sur la bonne route, il ne serait plus jamais seul.
Combien de guerres les Terriens pourront-ils encore supporter ?
La guerre était-elle une impulsion instinctive dont le commun des mortels était tout autant responsable que les politiciens et les soi-disant hommes d'Etat ?
La galaxie était une tour de Babel.
Mais l'homme s'était nourri si longtemps de ses rêves que, mis en face de la brutale réalité, il ne put se résoudre à les voir disparaitre sans tenter un dernier effort.
La préservation de la race, le progrès de la race, mais vous n'avez que ces mots-là à la bouche. Pourquoi vous en soucieriez-vous ?
La cité est un anachronisme.
L'Homme a peur. Il a toujours vécu dans la peur. Il a peur. Peur de lui-même.
Que cherchez-vous à m'expliquer ? Que la population rétrograde du Wisconsin pratique la conspiration du silence ?