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Vous avez des étrangers qui viennent en France comme balayeur, et après ils restent comme Noir !
Coluche
Les gens y gueulent après Hitler mais on l'a surtout connu pendant la guerre, c't'homme-là... Et pis De Gaulle lui doit tout !
Si les journalistes étaient des funambules, il y aurait une forte mortalité dans la profession.
Un pays neutre, c'est un pays qui ne vend pas d'armes à un pays en guerre, sauf si on paie comptant.
Le syndicalisme est à la société moderne ce que le mercurochrome est à la jambe de bois.
Homme politique, un métier difficile ? C'est pas vrai ! Les études, c'est très simple, c'est cinq ans de droit et tout le reste de travers.
Si jamais vous avez couché avec une bonne soeur de moins de soixante ans, c'était un pingouin.
Les journalistes, ils viennent quand une pièce a beaucoup de succès. Seulement, une fois que ça marche, on n'a plus besoin d'eux.
Il paraît que la presse a tué un ministre... Dis donc, par rapport à ce qu'elle en fait vivre... c'est pas grave, hein ?
Lutter contre la drogue, c'est relativement facile dans la mesure où c'est interdit. Quand un type se soûle dans un bistrot, on ne peut rien lui dire parce qu'il est là pour ça et le bistrot aussi.
L'instabilité est nécessaire pour progresser. Si on reste sur place, on recule.
Message pour les écolos canadiens : sauvez un arbre, mangez un castor.
L'âge ingrat, chez les filles, c'est quand elles sont trop grandes pour compter sur leur doigts et trop petites pour compter sur leurs jambes.
Ce n'est pas difficile, d'être une vedette. Ce qui est difficile, c'est d'être un débutant.
Il est analphabète comme ses pieds.
Certains commencent à l'extrême gauche et finissent à l'extrême droite : il paraît que c'est un chemin qu'on fait avec l'âge.
Si l'administration travaillait dans le bâtiment, elle aurait les doigts pris dans le béton.
S'il y a des mecs qui ont du pognon et qui sont emmerdés parce que l'argent ne fait pas le bonheur, ils n'ont qu'à le dire : on trouvera toujours des pauvres assez cons pour le leur piquer.
Y a rien de pire que d'avoir vingt ans et des idées : tout le monde les trouve mauvaises.
Le travail, c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail.
À chaque fois que je vois une femme qui me plaît, soit c'est elle qui est mariée, soit c'est moi !
Quand vous voyez un flic dans la rue, c'est qu'y a pas de danger. S'il y avait du danger, le flic serait pas là.
Je ne suis ni pour, ni contre, bien au contraire.
Pour avoir du génie, faut être mort ; pour avoir du talent, faut être vieux, et quand on est jeune, on est des cons.
Si j'ai bien lu Freud, les hommes auraient deux problèmes, le cul et le fric. Sachant que tout le monde a un cul, occupons-nous du fric.
Pour ces messieurs, la moralité devient rigide quand le reste ne l'est plus.
Coups de vent sur la côte bretonne où de forts pétroliers sont à craindre.
L'argent ne fait pas le bonheur des pauvres. Ce qui est la moindre des choses.
Vous connaissez la différence entre Dieu et le père Noël ? et bien c'est que le père Noël c'est vrai !
La médecine est un métier dangereux. Les clients qui ne meurent pas peuvent porter plainte.
La France va mieux. Pas mieux que l'année dernière. Mais mieux que l'année prochaine.
Je voudrais rassurer les peuples qui meurent de faim dans le monde : ici, on mange pour vous.
C'est la foi qui compte mais moi je compte pas les fois.
Le pape ne croit pas en Dieu ; vous avez déjà vu un prestidigitateur qui croit à la magie, vous ?
Il y a deux genre d'avocats : ceux qui connaissent bien la loi, et ceux qui connaissent bien le juge.
Pour qu'un écologiste soit élu président, il faudrait que les arbres votent.
Vous savez ce que c'est un spermatozoïde avec un attaché-case ? C'est un représentant de mes couilles.
Il y a quelque part une poésie de la bêtise.
Un Noir et un Blanc, c'est la même chose, sauf qu'il y en a un qui court plus vite.
Si jamais nos hommes politiques se mettaient à tenir les promesses qu'ils font, il leur faudrait le budget des Etats-Unis.
Les quatre leaders des grandes formations politiques françaises ne sont pas les uns contre les autres, mais bien unis comme les trois mousquetaires des cinq doigts de la main : "un pour tous, tous pourris."
Bob, il dit toujours : si la société nous rejette, c'est parce qu'elle veut oublier que c'est elle qui nous a créés.
Un militaire qui meurt dans son lit, ça fait ? Un de moins !
Je suis allé à Venise, c'est formidable, c'était inondé, les gens chantaient dans les rues !
La société n'a pas voulu de nous ? Qu'elle se rassure ! On n'veut pas d'elle ! On lui fout la paix. C'est pas nous qui allons lui mettre des bâtons dans les trous.
La Suisse, c'est formidable, tout y est moins cher, même l'argent français !
Y'a des gens qui disent : "on est cernés par les cons". C'est vrai, mais on se rend pas compte à quel point.
A la sécurité sociale, tout est assuré. Sauf la pendule. Ça, on ne risque pas de la voler, le personnel a les yeux constamment fixés dessus.
La guerre de 14-18 avait fait un civil tué pour dix militaires. La guerre de 39-40, un civil pour un militaire. Le Viêt Nam, cent civils pour un militaire. Pour la prochaine, les militaires seront les seuls survivants. Engagez-vous !
Les homosexuels ne se reproduisent pas entre eux et pourtant ils sont de plus en plus nombreux.