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Entrer en scène, c'est parfois égal à un accouchement parfois ça se passe avec douleur, et parfois sans douleur.
Dalida
J'ai traversé la vie sans la regarder. Je sais ce qu'est ma vie. Mon mari, c'est le public. Les chansons, ce sont mes enfants.
Chaque fois, que je vais chanter sur scène, c'est un vrai accouchement !
Le bonheur, je ne sais pas ce que c'est.
J'ai appris beaucoup sur la vie, grâce aux livres et à la spiritualité. Mon désespoir, c'est de ne jamais avoir eu d'enfants.
La vie m'est insupportable, pardonnez-moi.
La chose la plus belle est la connaissance de soi parce que c'est la seule façon de devenir tolérant et indulgent vis à vis des autres.
Je reste insatisfaite. Il faut que je replonge en enfer pour comprendre.
La douleur est le terreau de l'artiste.
Le compagnon le plus fidèle, c'est le livre, on peut le lire et le relire quand on veut, il nous accompagne partout ou on va...
Chaque être a le livre de sa vie. Un jour, il faut l'ouvrir et regarder dedans. Le voyage le plus merveilleux, ce n'est pas celui que l'Homme fait en allant à la Lune. C'est le voyage intérieur
La psychanalyse, en ce qui me concerne, je crois que c'est mon petit dada. Elle a été mon petit dada depuis fort longtemps, depuis 1972, quand j'ai commencé à faire une psychanalyse moi-même.
On ne doit pas nous voler notre propre mort, car elle fait partie de notre vie, il est donc important de vivre aussi ce moment-là.