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Je n'apprends jamais rien à l'avance (...) Je fais du mieux que je peux et quand je rentre chez moi, c'est fini, c'est oublié.
Danielle Darrieux
Le temps qui passe n'est pas un problème.
On en apprend tous les jours, c'est merveilleux d'avoir une vie longue. Je suis une très bonne vivante, j'aime bien boire mon petit whisky le soir.
Moi je ne peux pas supporter que les gens meurent jeunes. C'est insupportable. Et quand on me dit 'ma pauvre, ça ne vous fait rien de vieillir ?', mais je dis 'mais c'est un privilège, c'est un cadeau', et j'espère vivre à 100 ans, ah j'aurais bien voulu mourir à 100 ans.
Tout périt, sauf l'amour.
J'aime beaucoup rester chez moi, quand je ne travaille pas, je ne sors pas beaucoup.
Je suis une vraie sauvage. Je n'aime que la nature et la famille en vérité alors même que je fais un métier public, c'est ça qui est drôle. Je fais une grande séparation entre ma vie privée et ma vie publique.
L'argent, c'est bon d'en gagner pour le dépenser. Je claque tout, je donne, je fais n'importe quoi.
Quand j'ai tourné à 14 ans dans "Le Bal", par hasard, j'ai cru que c'était une plaisanterie sans lendemain.
Je suis très jeune de caractère, mais ce que je trouve formidable quand même c'est de vieillir en même temps, parce qu'on connaît beaucoup plus de gens, on a vu beaucoup plus de choses.
Je ne cherche pas expliquer les personnages que je joue.
Jeune, jamais je n'aurais imaginé être vivante en 2000.
J'ai bien abusé de la vie !
Au début, je n'aimais pas pleurer au cinéma. J'étais très physique. On m'avait dit qu'à 30 ans, je commencerai à bien jouer. On évolue. On ne joue plus seulement avec les mots et les apparences. On va plus loin avec son coeur...
Aimer et être aimer, c'est la seule chose intéressante de l'existence (...) c'est pas l'argent ! L'argent, c'est fait pour être dépensé !
J'ai été une star ! Ce qui ne veut absolument rien dire. Je suis comme les oiseaux, ce qui m'est tombé dessus, je l'ai pris, sans le refuser, ni faire des pieds et des mains pour l'obtenir.