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Les médias représentent la plus grande puissance de notre société contemporaine.
David Lodge
Ecrire des romans, c'est comme de glisser des messages dans une série de bouteilles qu'on jette à la mer au jusant, sans avoir la moindre idée du lieu où les vagues les porteront ni même savoir s'il y aura quelqu'un pour regarder dedans.
Le bonheur ? Tout le monde sait que ça ne dure pas.
Depuis son départ, elles étaient d'une telle pagaille que le Thé du Chapelier four de Carroll apparaissait en comparaison comme un système modèle dans l'art de prendre des décisions.
Le roman est un support inégalé pour représenter la conscience subjective, mais il ne rend pas correctement compte de l'expérience d'écouter de la musique.
Quand on représente une chose, elle acquiert une signification nouvelle. Les signes ne sont jamais innocents.
L'intention de l'auteur ne constitue pas un critère valable pour juger de la réussite d'une oeuvre littéraire.
Un monde régi par les médias. La culture du commérage.
Le roman est autant un artefact verbal qu'un poème lyrique.
La vie sexuelle de chacun est en partie composée de fantasmes, en partie inspirée de modèles littéraires, de mythes, d'histoires ainsi que d'images et de films.
Oui, bien entendu, je sais que les plaisanteries sont une forme déguisée d'agression...
Avec la répétition, une interview peut devenir une corvée assommante. Et parfois, on sent qu'on a été piégé ou trahi, en révélant plus sur soi-même que ce que le public avait besoin ou le droit de savoir.
Dans le monde contemporain, le succès est dans une large mesure créé et mesuré par la publicité.