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Remettre ce que l'on a à faire à demain, c'est contrarier son destin... Pire de le remettre au lendemain sous prétexte qu'on y peut rien. Et quand ce n'est pas encore fait au surlendemain, c'est qu'on ne peut plus prendre son destin entre ses mains et c'est alors que commence une vie de bon à rien...
Descrea
Toutes les excuses sont bonnes pour se valoriser supérieur à une autre personne que ce soit au niveau familial, social ou professionnel et si vous vous croyez supérieur dans tous ces domaines, c'est que vous êtes sans nul doute inférieur à vous même.
La discussion nourrit l'atmosphère mais ne dépend que de votre degré social et intellectuel. Ainsi vous ne serez pris au sérieux qu'à l'égal de vous-même...
Moi aussi je fais dans le Bio... Ce que j'écris est 100% naturel, sorti des neurones de mon cerveau où mon esprit se nourrit d'air et d'eau que mon âme purifie par ces mots...
Dieux créa la lumière et la lumière fut. La nature s'est mise à pousser, pousser... Misère, misère !!! Il créa l'automatisation jour/nuit, jour/nuit et le monde devint un Paradis... C'était bien avant de créer l'homme car quand il fut créé, la vie devint un enfer... Misère, misère !!!
Quand mes mots se comparent à un bouquet de rose, c'est que mes pensées n'ont rien de morose... Mais il arrive que mes pensées ressemblent plus aux épines de ce bouquet et là, c'est que de mes pensées je suis énervé... Mieux vaut alors se mettre la tête dans le vase plutôt que de me chercher.
Ceux et celles qui soulèvent les montagnes, doivent être ceux et celles qui sont habitués à lever les tapis pour y mettre les poussières...
L'impression est l'image de vos sentiments mais il n'est pas imprimable le reflet qui en ressort de vos yeux... Une pensée de cette image vous en donne l'impression...
On vous rappelle, à bientôt... Dur, dur de trouver un boulot avec cette phrase passe-partout pour se séparer de vous, sans avoir à se justifier que l'on ne vous a pas apprécié. Tant de capacités qu'on ne veut exploiter pour trop d'exigences à vous demander. Moralité, maman boulot bobo, pas toujours beau, chercher pas toujours gai...
Dieu a donné à l'homme le feu pour se réchauffer. Des neurones ont travaillé pour le maîtriser. Des neurones ont travaillé, il s'en est servi pour s'éclairer. Des neurones ont travaillé après s'être brûlé, cuire pour s'alimenter. Les neurones ont fumé, il s'en sert pour détruire et tuer. Heureusement, l'eau était là avant le feu.
Les plantes qui s'adaptent à notre environnement, s'adaptent aussi à notre tempérament. Elles supportent nos amours, nos détresses, nos colères et n'ont aucune alternative de le montrer de par leur beauté ou leur fragilité à s'en occuper. Soignez-les donc comme vous vous soigneriez vous-même et la nature vous le rendra.
Le choix. Tout au long de notre vie il est question de choix. Choisir fait partie de notre panoplie du cerveau. Le couteau Suisse d'avoir ci ou d'avoir ca, de faire ci ou de faire ca. J'ai fait le choix d'écrire, libre à vous du choix d'aimer et de partager. Faites un : bon choix Monsieur, bon choix madame.
La beauté si elle ne se mange pas en salade, moi je la déguste au dessert car si mon quotidien peut être agréable, je garde l'extra pour la fin d'en faire un régal à en crever de faim.
Pleurer c'est nettoyer ses yeux des poussières de votre coeur quand elles font mal dans la joie ou le malheur...
La dominance n'a que la détermination du pouvoir en apparence, de se croire au sommet en évidence de son point de vue autoritaire à se faire valoir.
A vouloir bien faire ou mieux faire, on finit toujours par faire mal...
L'amour a ses différences autant que la haine et les apparences, à en faire dans nos esprits tant de divergences... L'amour peut donc créer des guerres et des conflits mais restons optimistes, l'amour est aussi un très beau défit d'en trouver bonheur et Paradis...
Moi encore sans sou si oui, si encore j'en avais j'aurais moins de soucis et de chez moi pour en éviter les soucis, cette fleur que je bannis, elle qu'on appelle le souci ne partagera pas ma vie.
La naissance. Avoir un enfant, la plus merveilleuse chose au monde. On est plus fort que le roc et plus tendre que la pierre. On se forge des sentiments d'un devoir de la vie, on s'en renoue de nouveaux. L'héritage de sa personnalité au travers des générations. L'amour de toute une vie qui s'écrit dans le temps.
L'idiotie est la sagesse de l'imbécilité, l'intelligence est la sagesse de l'âme. Et si des deux vous héritez, vos connaissances ne s'arrêteront qu'à l'incompréhension de vos dires à ne plus en savoir ce que vous vouliez dire.
J'ai dû trop apprendre à me connaître, que je ne m'aime plus... ils ont appris à me connaître, qu'ils m'aiment trop...
L'homme faisait ce que son cerveau lui dictait, l'utile à l'agréable et on ne sait pourquoi il a ajouté l'inutile à l'agréable. Sûrement parce qu'il ne savait plus quoi mettre dans le tiroir de son cerveau à en faire n'importe quoi.
Je peindrais ton coeur couleur de pierre quand tu seras dur... Je peindrais ton coeur couleur de rose pour en ôter tes pensées moroses... Mais je peindrais ton coeur couleur de flammes pour y purifier ton âme, moi qui peint la vie de mille couleurs dans le bonheur mais tant aussi dans le drame...
L'amour peut être une houle de sentiments à la dérive qu'aucun coeur n'empêcherait de se noyer quand une vie vient de chavirer...
C'est moi qui écrit cela, c'est vous qui l'interprétez, c'est moi qui subit ce que vous en pensez. Que ce soit de par le bon sens ou au sens figuré, que vous détestez ou que vous aimez, dans la sagesse ou l'impertinence, je serais seul à en juger et maître d'encore m'exprimer.
Le destin est une fatalité que notre esprit n'arrive pas à déterminer, de passer tout son temps à le chercher à s'en faire des raisons de ne pas le trouver...
Imposer sa personnalité, c'est se faire respecter et diriger son potentiel de civisme dans la plus grande sociabilité...
Un anniversaire qui se souhaite est une salade composée qui se fête... La joie, le gâteau, les bulles, les proches, les amis et les bons mots. Une fois la fête consommée et que la salade est digérée, le temps s'égraine à nouveau sans que le ciel ne soit toujours beau, d'en attendre un an de plus de déguster cette salade et d'en redire les mêmes mots.
Ne pas manquer le début du film pour le comprendre jusqu'à la fin. Le seul paradoxe en serait de regarder un film en cours qui n'a ni queue, ni tête...
La cage à lapins, cet appartement où l'on gîte par nécessité faute de moyen et par obligation de se loger. Les pièces trop petites pour être aménagées à votre gré. Quoi que deux gamelles suffisent pour un clapier, à boire et à manger.
Le fantôme est comme la goutte d'eau qui nous fuit et que l'on ne peut saisir s'imbibant dans son élément. Pour lui, son lieu en est l'atmosphère à nous en faire peur par tant de mystères...
Tout voir, tout entendre, tout savoir, tout prendre pour tout avoir. C'est la stratégie de notre cerveau pour en être la machine humaine la plus dominante. Mais quand un élément fait défaut, la machine humaine montre sa faiblesse et se plie aux circonstances de la vie à savoir qu'il faut s'adapter aux défaillances de notre corps...
Apprendre, c'est un besoin pour notre cerveau. Toujours en savoir un peu plus un peu trop mais jamais assez, pour être au niveau de l'être qui est au plus haut. Moralité, le savoir est d'apprendre à savoir qu'on n'en sait jamais trop.
Le gros mot, pas plus gros qu'un autre mot, pas plus ou moins beau. Simplement pas bien d'en dire à en écouter mais peut-on s'en empêcher, quand on grise à s'en énerver que c'est bon pour se calmer...
Si tu ne fais pas aux autres ce que tu voudrais que l'on te fasse, comme la chouette hulotte tu feras la grimace et dans ton froc t'y laisseras des traces. Moralité, ne pas faire ailleurs quand tu ne l'as pas déjà fait pour toi.
Celui qui souffre est humain. Celui qui fait souffrir est "animal". Rappelons-nous simplement que nous étions "animal" avant d'être humain et qu'on en garde l'instinct... Pauvre de nous, pauvre d'humains...
La nature est si belle, elle nous le rend bien mais nous on ne lui rend rien. Si ce n'est que vivre aujourd'hui pour ce que l'on ne vivra plus demain.
La femme de ma vie, pas sûr que ce soit celle qui sera dans mon lit, pas sûr qu'elle partagera mes ennuis, pas sûr qu'elle vivra mes passions aussi, pas sûr qu'elle connaîtra mes amis, pas sûr qu'elle soit la plus jolie mais si elle est tout cela, elle me donnera l'envie et c'est sûr qu'elle sera la femme de ma vie.
Tu parais grand quand bien t'es petit selon les jours de ta vie, tu joues de sentiments quand ton coeur s'affaiblit. Tu défies les plus puissants pour gagner la partie mais combien tu mens pour sauver l'ironie et dire maintenant que tu es l'homme d'aujourd'hui.
Souriez, vous êtes filmés. Le sourire est source de communication, faut-il encore qu'il soit naturel pour en avoir satisfaction. Si cela est, c'est un rayon de soleil, un morceau de bonheur, un sentiment de réconfort au fond du coeur.
Amazone-moi... Telle la menthe religieuse qui dévore son mâle pendant l'acte. Belle tu es quand combien tu sais plaire. Amazone tu deviens quand tu nous fais la guerre. D'enfanter d'un homme est pour toi un calvaire, de ne prétendre à une fille pour en faire une guerrière. La femme n'est pas la meilleure de l'homme à s'en apparenter Amazone...
La solitude qui ne se comble par aucun sentiment, n'est que le reflet de votre image au regard d'un miroir sans teint... Et quand on ne peut en voir le fond, la solitude pèse lourd autant que le temps est long...
Ce n'est pas parce que vous allez prendre le chemin le plus court que vous arriverez plus vite... L'imprévisible est là et sort sa panoplie de circonstances de vous en faire monter la pression à ne plus en rester zen... Moralité. Mesurer la distance en maitrisant les circonstances apportera en vous une plus grande assurance.
L'infini est l'illusion d'un trait sans point, d'un espace sans coin et d'un horizon sans fin, d'un trou noir dans l'espace lointain ou d'abysses dans nos fonds marins... Dans notre tête, l'infini serait entre l'abysse et le trou noir, noyé dans un liquide à ne plus rien voir...
La mélancolie est le miroir d'une joie dans la tristesse maquillée d'un regard de caresse...
Plus la femme s'occupe et plus l'homme se détend... Plus la femme s'étend et plus l'homme veut s'en occuper...
Quand je n'ai pas l'énergie qui alimente mes neurones à trouver les mots qu'il faut pour séduire vos oreilles. La lumière qui est au plus profond de moi, ressource mon esprit et l'étincelle qui en jaillit vous fera merveille.
L'homme a toujours voulu voir plus grand, aller plus loin mais aussi toujours plus haut. Pourquoi toujours vouloir tenter l'impossible, l'irréaliste à en défier les lois de la nature et de la gravité. Voulant dominer le monde sans le maîtriser, il ne fait que l'aggraver. Ce monde qui naturellement est déjà capricieux, pourquoi faut-il que l'on en accélère sa fragilité.
Dis-lui, dis-lui tout mais ne te confies de rien s'il n'est ton ami et qu'il le sera les jours prochains. Ton jardin secret ne doit pas être à la portée de sa main sans que tu ne connaisses avant le sien. Si pour les jeux de mots pour le moment c'est bien, il et trop tôt cependant pour les jeux de mains.
La magie est du rêve pour les enfants, un spectacle pour les grands donnant l'illusion d'enchantements qui brillent dans vos yeux mais que souffle le vent...