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C'est ainsi qu'une routine se met en place : se réveiller, aller travailler, pleurer, dormir. Enfin, essayer de dormir. Je ne peux même pas lui échapper dans mes rêves.
E. L. James
Un homme qui contrôle tout, ce ne peut être qu'une légende.
Je perds la raison quand nous sommes ensemble - voilà à quel point mes sentiments pour toi sont profonds.
Je te veux et l'idée que quelqu'un d'autre puisse t'avoir est comme un couteau planté dans mon âme sombre.
Vous êtes le maître de mon coeur, monsieur Grey. Et de mon corps... et de mon âme.
Je me demande parfois ce qui ne va pas chez moi. J'ai peut-être passé trop de temps avec mes héros de roman si romantiques... J'ai placé mes attentes et mes idéaux bien trop haut.
Il m'adresse un sourire dévastateur, en coin, un truc à vous embraser la culotte. Oh, il est tellement attirant. Ma déesse intérieure m'adresse une moue provocatrice.
Christian, tu es le plus gros gain du Loto, le remède à tout cancer, les trois voeux de la lampe d'Aladin. Tout cela à la fois.
J'ai l'impression que le soleil s'est couché et ne s'est pas levé pendant cinq jours. Je vis dans une nuit perpétuelle.
J'ai le souffle coupé, je suis Eve dans le jardin d'Eden, il est le serpent, et je ne peux résister.
Les entretiens d'embauche sont des situations factices où chacun se présente sous son meilleur jour, en se dissimulant derrière une façade de professionnalisme.
Je suis aimantée comme Icare vers son soleil. Je m'y suis brûlé les ailes et pourtant je suis encore là...
Tu sens... le paradis. J'ai dormi de ton côté du lit, car l'oreiller avait ton odeur.
Je suis tout sauf heureux. Comme si le soleil s'était couché depuis cinq jours et n'était jamais revenu, Ana. Je suis dans une nuit perpétuelle.
- Tu me fais voir le monde autrement, Anastasia. Tu ne veux pas de moi pour mon argent. Tu me donnes de... l'espoir, avoue-t-il doucement.
Vous satisfaire est notre priorité, Mademoiselle Steele.
Nouvelle ville, nouveau boulot... nouvel amoureux cinglé.
Je vais prendre un café avec Christian Grey... et je déteste le café.
C'est un homme dans le besoin. Sa peur est évidente, il est perdu... quelque part dans les ténèbres. Ses grands yeux sombres sont emplis de tourment. Je peux le sauver. Le rejoindre un bref instant dans les ténèbres, pour le ramener dans la lumière.
Ma conscience a chaussé ses Nike et elle est dans les starting-blocks.
Je n'étais pas consciente qu'on se battait. Je pensais qu'on communiquait.
Pas question de céder là-dessus. Personne ne me dictera ce que je mange. Comment je baise, passe encore, mais manger absolument hors de question.
C'est la première fois que je suis attirée par un homme, et il fallait que je tombe sur un cinglé qui trimballe un contrat, une cravache et des tas de casseroles.