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La cause féministe je la partage. J'en ai fait un fil rouge de ce quinquennat. Lutter contre les violences faites aux femmes, lutter pour l'égalité réelle et effective entre les femmes et les hommes, c'est un combat sur lequel je ne céderai rien.
Emmanuel Macron
On ne résout pas une crise comme ça en augmentant les impôts. Si on augmente les impôts, le doute s'installe et les gens ne consomment plus.
Le kwassa-kwassa pêche peu. Il amène du Comorien.
je ne veux plus de l'anonymat sur les plateformes internet.
L'épidémie de Covid-19 était peut-être pour vous une réalité lointaine, elle est aujourd'hui immédiate.
Les images que nous avons tous vues de l'agression de Michel Zecler sont inacceptables. Elles nous font honte. La France ne doit jamais se résoudre à la violence ou la brutalité, d'où qu'elles viennent. La France ne doit jamais laisser prospérer la haine ou le racisme.
Je ne fais pas partie de ceux qui stigmatisent les entreprises du CAC 40, car ce sont elles qui structurent l'économie française. Il faut que les start-up d'aujourd'hui préfigurent le CAC 40 de demain.
Etre candidat à la présidence, c'est avoir un regard et un style. Aussi vrai qu'un écrivain a un regard et un style.
Il ne faut jamais écouter les mecs de la sécurité. [...] Parce que si vous écoutez les mecs de la sécurité, vous finissez comme Hollande. Peut-être que vous êtes en sécurité mais vous êtes mort.
Ceux qui font appliquer la loi doivent respecter la loi. Je n'accepterai jamais que la violence gratuite de quelques-uns entache le professionnalisme de femmes et d'hommes qui, au quotidien, assurent notre protection avec courage. Le respect des valeurs de la République et la déontologie doivent être au cœur de l'engagement de toutes nos forces de l'ordre.
Personne ne sait dire aujourd'hui pendant combien de temps il faudra aller vers cette réduction des contacts sociaux et ces pratiques (confinement).
Nos concitoyens aujourd'hui veulent trois choses : qu'on les considère, qu'on les protège, qu'on leur apporte des solutions. [...] La considération, on ne l'a sans doute pas assez apportée.
Nous sommes une nation de citoyens solidaires. Nous avons besoin les uns des autres. On s'en sortira ensemble.
Il ne faut pas envoyer le signal que le succès ne fait pas partie des valeurs de la France. Le succès, l'émancipation par le travail ça fait même partie des valeurs de la gauche.
Je n'accepterai jamais les violences perpétrées envers nos policiers et nos gendarmes, tous ceux qui portent l'uniforme. Ne jamais se résoudre à ce que des femmes et des hommes qui se sont engagés pour défendre l'ordre républicain soient blessés ou tués dans l'exercice de leur mission.
La deuxième vague est là. Nos services de réanimation sont sous pression. Sans mobilisation collective, ils seront rapidement saturés. Préserver notre système de santé et nos soignants, protéger les Français : tel est le sens des mesures que nous prenons.
Pour notre intérêt collectif, dès lundi et jusqu'à nouvel ordre, les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et les universités seront fermés. Pour une raison simple : nos enfants et nos plus jeunes, selon les scientifiques, sont celles et ceux qui propagent, semble-t-il, le plus rapidement le virus. [ coronavirus ]
La liberté, nous la chérissons ; l'égalité, nous la garantissons ; la fraternité, nous la vivons avec intensité. Rien ne nous fera reculer, jamais.
La France a installé les droits de l'Homme en Algérie, mais elle a oublié de les lire.
Pourquoi ai-je un jour voulu devenir Président ? Pour faire en sorte que quelque soit votre prénom, votre religion ou votre couleur de peau, il y ait un chemin qui vous permette d'arriver à l'excellence.
Le Front national (…) est, toutes choses égales par ailleurs, une forme de Syriza à la française, d'extrême droite. Mais, d'ailleurs, vous voyez cette coagulation des contraires se faire : qui adore Syriza chez nous ? Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Avec qui s'allie Alexis Tsipras en Grèce ? Avec son extrême droite souverainiste.
Je suis dans un gouvernement de gauche mais quelle importance ? Quand vous êtes ministre, vous êtes ministre de la République et donc vous servez l'intérêt général.
La France est un pays fort et riche.
Mon prédécesseur a imposé des personnes riches et prospères à un taux plus élevé que jamais. Et ce qui est arrivé ? Ils sont partis. Et qu'est-il arrivé ? Le chômage a-t-il baissé ? Non.
J'ai toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance, mais en même temps elle doit s'ancrer dans de l'immanence complète, de la matérialité.
Ne laissez pas la critique de l'UE à ceux qui le détestent.
Je refuse de céder au triste réflexe de l'envie française car cette envie paralyse notre pays.
Considérer, c'est entendre quand les gens se plaignent, pour les amener dans cette transformation.
Nous n'ajouterons pas aux difficultés sanitaires la peur de la faillite pour les entrepreneurs, l'angoisse du chômage et des fins de mois difficiles pour les salariés. Tout sera mis en œuvre pour protéger nos salariés et pour protéger nos entreprises. Quoi qu'il en coûte, là aussi.
L'ambition n'est jamais modeste. Si la modestie signifie avoir un succès médiocre, alors je peux seulement dire : cela ne m'intéresse pas.
Je veux qu'on sorte d'une forme de poujadisme contemporain où ceux qui disent à longueur de journée que l'on paie trop d'impôts sont les mêmes à dire non dès que l'on veut changer quelque chose, ou demander des efforts aux collectivités.
Il faut maintenant dire que lorsqu'on va dans des manifestations violentes, on est complice du pire.
Il n'y a pas une culture française, il y a une culture en France et elle est diverse.
Je crois qu'aujourd'hui, la place doit être au débat, à la réponse démocratique, et elle sera ensuite dans les urnes. Mais nous ne pouvons pas être dans une démocratie de l'émeute
En ce jour de fête nationale, nous célébrons la fierté d'être français, nous célébrons nos armées, leurs familles, nos blessés, et nous rendons un hommage ému à nos soignants.
Notre monde est, si nous le voulons, à l'aube d'une époque nouvelle, d'une civilisation portant au plus haut les ambitions et les facultés de l'homme. Ruiner cet espoir par fascination pour le repli, la violence et la domination serait une erreur dont les générations futures nous feraient, à juste titre, porter la responsabilité historique.
L'honnêteté m'oblige à vous dire que je ne suis pas socialiste.
Quelque chose ne fonctionne plus dans ce capitalisme qui profite de plus en plus à quelques-uns. Je ne veux plus que nous considérions que le sujet d'ajustement économique et de la dette prévaut sur les droits sociaux.
Pour protéger et freiner la propagation du Covid-19 (Coronavirus) : dès lundi et jusqu'à nouvel ordre, les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et les universités seront fermés.
Dans l'hôtellerie, les cafés et la restauration, dans le bâtiment, il n'y a pas un endroit où je vais où ils ne me disent pas qu'ils cherchent des gens. Pas un ! Hôtels, cafés, restaurants, je traverse la rue, je vous en trouve !
Si cette pression énorme n'existait pas, je n'aurais pas été élu. Cela aurait été l'un des candidats habituels.
Quelles que soient les circonstances, chaque citoyen doit pouvoir exprimer ses convictions et revendications à l'abri de toute violence et de toute pression. La France est un pays d'ordre et de liberté, pas de violence gratuite et d'arbitraire.
Le Covid-19 (Coronavirus) qui affecte tous les continents et frappe tous les pays européens, est la plus grave crise sanitaire qu'ait connue la France depuis un siècle.
Dans un monde de plus en plus incertain, avec des puissances qui se remilitarisent, est-ce qu'en tant que président de la République je peux dire à mes concitoyens que je veux mettre entre les mains des Etats-Unis notre souveraineté ? Non.
L'incendie de Notre-Dame nous rappelle que notre histoire ne s'arrête jamais, et que nous aurons toujours des épreuves à surmonter. Ce que nous croyons indestructible peut être atteint.
Le Brexit est l'autre face de la crise des réfugiés - des tensions qui conduisent à la stase, des risques externes qui conduisent à des chocs asymétriques.
Il y en a beaucoup qui ont essayé de m'intimider. Comme dirait Michel Audiard, il y en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes.
Le cadre légal n'est pas suffisant parce que salariés comme entreprises ont besoin de plus de souplesse. Qui serions-nous pour dire à quelqu'un qui souhaite (travailler plus) que c'est impossible
Il faut osciller entre humilité et arrogance. Si vous tombez d'un côté, vous devenez soit inefficace soit dangereux.
Je crois que c'est ce qui constitue, d'ailleurs, l'esprit français, c'est une aspiration constante à l'universel, c'est-à-dire cette tension entre ce qui a été et la part d'identité, qui est cette ipséité stricte, et l'aspiration à un universel, c'est-à-dire à ce qui nous échappe.