Images
L'été 2020 ne sera pas un été comme les autres et il nous faudra veiller à l'évolution de l'épidémie.
Emmanuel Macron
Je me bats sur le plan international pour qu'on arrive à faire baisser le prix du pétrole.
La dimension christique, je ne la renie pas ; je ne la revendique pas.
On est d'abord loyal quand on est fidèle à ses idées.
Il faut prendre un peu de distance avec la polémique et les réseaux sociaux. J'aime la France et les Français, n'en déplaise, et je l'aime dans toutes ses composantes. Je les aime, ces tribus gauloises, j'aime ce que nous sommes.
Notre-Dame de Paris en proie aux flammes. Émotion de toute une nation. Pensée pour tous les catholiques et pour tous les Français. Comme tous nos compatriotes, je suis triste ce soir de voir brûler cette part de nous.
Amadeus Mozart est à la musique quelque chose comme Jean Nicolas Arthur Rimbaud à la littérature. Ce sont des gens qui ont créé quelque chose que personne avant eux n'avait. Des génies absolus. Vous pouvez reconnaître leurs harmonies parmi des milliers.
Une gauche qui ne fait rien n'obtient rien.
Nous pouvons transformer les colères en solutions
La crise que nous vivons peut conduire à la guerre et à la désagrégation des démocraties. Tous ceux qui croient, sagement assis, confortablement repus, que ce sont des craintes qu'on agite se trompent, ce sont les mêmes qui se sont réveillés avec des gens qui semblaient inéligibles, ou sortis de l'Europe, alors qu'ils pensaient que ça n'adviendrait jamais.
J'ai une loyauté personnelle envers François Hollande. Je lui dois de m'avoir fait confiance et de m'avoir nommé au gouvernement. En même temps, lorsqu'un président nomme quelqu'un ministre, il le fait parce qu'il pense que c'est bon pour son pays, pas pour en faire son obligé.
Les forces du monde ancien sont toujours là, bien présentes, et toujours engagées dans la bataille pour faire échouer la France.
Il n'y a pas de fatalité. Les crises peuvent être, à la fin, des accélérateurs de progrès. Nous devons être au rendez-vous de l'histoire. Et la France a tous les atouts pour l'être
Je ne veux pas entendre le reste, je crois que ce que les Françaises et les Français attendent de moi, c'est de ne pas répondre à des tweets mais c'est de m'attacher justement à ce que [...] nous continuions cette histoire importante. Nous sommes des alliés historiques et nous continuerons de l'être. Mais être allié, ce n'est pas être vassal.
Si nous avons pu retarder la propagation du virus [ coronavirus ] et limiter les cas sévères, c'est grâce à eux parce que tous ont répondu présents. C'est pourquoi, en votre nom, et avant toute chose, j'aimerais exprimer ce soir la reconnaissance à ces héros en blouse blanche. Ces milliers de femmes et d'hommes admirables qui n'ont d'autre boussole que le soin.
Je me fiche de la prochaine élection, je veux réussir furieusement, passionnément ce mandat. Pour cela, je devrai prendre des risques à coup sûr.
L'économie mondiale s'est quasi arrêtée. Notre première priorité est donc d'abord de reconstruire une économie forte, écologique, souveraine et solidaire.
La gauche (n'était) pas exempte de critiques particulières. Elle a pu croire à un moment, il y a longtemps, que la politique se faisait contre les entreprises, ou au moins sans elle. (...) Que la France pourrait aller mieux, en travaillant moins. C'était des fausses idées.
Nous sommes une nation où chacun, quelles que soient ses origines et sa religion doit trouver sa place. (...) Nous serons intraitables face au racisme et à l'antisémitisme, et de nouvelles mesures fortes pour l'égalité des chances seront prises.
Je serai d'une détermination absolue et je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes.
La popularité n'est pas ma boussole. À moins que cela puisse aider à agir, à être compris... c'est ce qui compte.
On pense que le peuple français est comme une grenouille spinale, qui n'a plus qu'un arc-réflexe : quand il y a un problème, l'arc-réflexe bouge, on pond une loi et on change la Constitution. C'est faux.
Vous n'allez pas me faire peur avec votre tee-shirt. La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler.
Il nous faut créer de nouveaux emplois en investissant dans notre indépendance technologique, numérique, industrielle et agricole par la recherche, la consolidation. Cette reconstruction doit aussi être sociale et solidaire.
Rien n'est pire que l'incertitude et l'impression d'une morosité sans fin.
Plus nous agirons ensemble, plus nous surmonterons cette épreuve (Coronavirus). Hissons-nous à la hauteur du moment.
La tranche d'impôt de Hollande à 75 % ? C'est Cuba sans le soleil.
Depuis quelques semaines, notre pays fait face à la propagation d'un virus, le Covid-19 (Coronavirus), qui a touché plusieurs milliers de nos compatriotes et j'ai bien entendu ce soir une pensée émue et chaleureuse pour les familles et les proches de nos victimes.
Une gare, c'est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien, parce que c'est un lieu où on passe, un lieu que l'on partage.
Pour accueillir les cas graves de Covid-19 (Coronavirus), des places doivent se libérer dans les hôpitaux. Toutes les capacités nationales ainsi que le maximum de médecins et de soignants seront mobilisés. Les soins non essentiels seront reportés.
Madame Le Pen a dit avec sa grossièreté habituelle : "c'est en marche où crève", elle a raison, En Marche !, c'est nous !
Dans les prochaines semaines, le port du masque sera obligatoire dans tous les lieux publics clos.
Je défendrai la France, ses intérêts vitaux, son image. J'en prends l'engagement devant vous. Je défendrai l'Europe, c'est notre civilisation qui est en jeu, notre manière d'être libre. J'oeuvrerai à retisser les liens entre l'Europe et les citoyens. J'adresse aux nations du monde le salut de la France fraternelle.
Chaque pays a sa propre diplomatie. Faire partie de l'Europe ne signifie pas renoncer à son indépendance ou ne plus pouvoir prendre l'initiative.
Alors, étions-nous préparés à cette crise ? A l'évidence, pas assez, mais nous avons fait face en France comme partout ailleurs. Nous avons donc dû parer à l'urgence, prendre des décisions difficiles à partir d'informations partielles, souvent changeantes, nous adapter sans cesse, car ce virus était inconnu et il porte encore aujourd'hui beaucoup de mystères.
Je revendique le dépassement politique. S'entourer de femmes et d'hommes qui viennent de gauche, de droite, de la société civile. C'est ça la force de notre pays.
Pour créer une plus grande convergence, nous avons besoin de plus d'intégration.
La Nation française, le rapport que nous avons avec la Nation est constamment mouvant, s'est construit dans l'Histoire par un permanent dépassement. C'est ça que l'Histoire veut donner.
Si je n'avais d'estime que pour celles et ceux qui réussissent je ne serais pas ici dans mon bureau.
Vu la situation économique, ne plus payer les heures supplémentaires c'est une nécessité.
Je pense qu'il y a une politique de fainéants et il y a la politique des artisans.
Ne pas rendre visite à nos aînés, est - j'en ai bien conscience - un crève-coeur. C'est pourtant nécessaire, temporairement pour les protéger du Covid-19 (Coronavirus).
Au fond, ce que je retiens de ces derniers jours, c'est qu'il ne faut rien renoncer au cap parce qu'il est juste et nécessaire.
La France, bien sûr, n'a besoin de personne. Je ne crois pas aux sauveurs. Mais la manière dont notre pays est gouverné doit changer radicalement. Cela commence avec les politiciens et va jusqu'à notre système électoral et au-delà. Ce dont nous avons besoin, c'est d'un renouvellement fondamental.
En France, il n'y a aucune religion qui soit un problème.