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Les chagrins m'ont appris une chose : la colère ne résout rien.
Estelle Lefébure
à mon époque. On avait des formes et on n'était pas complètement sous le diktat de l'anorexie.
À la mort de ma mère, j'avais totalement perdu confiance en moi. Je culpabilisais sans cesse. J'étais souvent repliée sur moi-même. J'avais tendance à vivre dans le regret, incapable de prendre des décisions de peur de me tromper.
Il faut penser aux jeunes adolescentes qui prennent exemple sur ces mannequins. Il y a un moment, faut arrêter (...) Je crois qu'il y a vraiment un "holà" à mettre, parce que ça devient grave.
L'émission est en direct et je sais que je vais avoir besoin de ma famille à mes côtés pour me soutenir. Un geste, un regard, et je me sens plus forte.
J'ai vu que, en effet, lorsqu'elle (Emma Smet) était à Londres, on insistait pour la mesurer, la peser toutes les semaines. J'étais révoltée donc je lui ai dit : Je suis désolée, tu n'y vas pas.
J'ai eu la chance de tomber sur le bon agent qui m'a protégée. On les appelle 'les requins', il y a beaucoup de requins dans le métier !
Le dimanche est une journée de grande paresse.
J'ai trois enfants, c'est merveilleux. Au moins, j'ai réussi ça dans ma vie.
Ma maman qui était coiffeuse m'a toujours dit qu'un des meilleurs conseils anti-âge était de savoir choisir la bonne couleur de cheveux.
C'est un vrai travail d'être en couple.
Mes enfants sont plus importants que tout.
Je ne renie pas les moments merveilleux que le mannequi-nat m'a offerts, au contraire. Mais aujourd'hui, tout en posant encore, je cultive une autre approche de la vie. C'est ce qui me permet d'être bien dans ma peau. Équi-li-brée.
Le dimanche est la seule journée qui passe trop vite.
Divorcer est un échec.