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Parmi les tâches que je considère comme faisant partie des missions du président de la République, il y a ceci : il lui revient de dire aux autres peuples de la planète que nous avons une responsabilité écologique en commun.
François Bayrou
On dirait un bocal de poissons rouges dans lequel on aurait plongé un piranha.
Le citoyen n'est pas un consommateur. C'est un producteur d'idées, de convictions, d'engagement, de solidarité.
Les valeurs du verbe "être" sont supérieures aux valeurs du verbe "avoir".
Les vrais ennemis, ce sont le chômage, l'échec de l'éducation, l'exclusion, la pauvreté, les fins de mois difficile, l'inquiétude et le souci des familles.
Dans le sport, on gagne un grand tournoi ou une grande course pour soi. En politique, on atteint son but pour les autres.
Moi et mes amis, on n'est pas la jet-society, on est la tractor-society.
Nicolas Sarkozy dit que les profs travaillent 6 mois par an, c'est une déclaration insultante et insupportable.
Moi, quand je fais un saut en élastique, je m'attache à un élastique.
Le ralliement, ça ne marche jamais, ce qui marche, c'est le rassemblement. Derrière le ralliement, il y a le désenchantement, et puis l'effacement. Derrière le rassemblement, il y a le courage et le succès.
L'éducation, c'est la question-clé de l'avenir de la France (...).
Je veux un pays de solidarité et pas d'abandon.
Dans toutes les élections précédentes, ce qui s'est passé en février donne la clé de ce qu'il va se passer en avril.
Avec Bernard Kouchner, le chantier nous est commun. Nous avons à construire ensemble.
Si les votes demeurent protestataires, ils sont perdus. Ce sont les votes d'adhésion qui changent les choses.
Il y a un climat de soupçon à l'égard de l'ensemble de la fonction publique dans le pays qui est irrecevable.
Est-ce qu'on pense aux petits, aux obscurs, aux sans-grades, comme disait Hugo ?
Rassembler les centristes, c'est comme conduire une brouette pleine de grenouilles : elles sautent dans tous les sens.
(...) Dans les équipes sportives, comme dans les pays, les individualités ne suffisent pas, il faut aussi l'esprit d'équipe.
J'ai choisi de tendre la main par-dessus ce mur de verre qui coupe la France en deux.
L'encre permet d'apprendre et mesurer les choses.
Je n'ai pas de relation avec Alain Juppé sur le mode du marchandage.
En démocratie, c'est la force des arguments qui compte.
Les raisons de dire "non" sont toujours plus mobilisatrices que celles de dire "oui".
Si nous pensons tous la même chose, c'est que nous ne pensons plus !
La politique, c'est fait pour donner aux gens des raisons de vivre.
L'identité nationale de la France c'est la République.
(...) L'élection présidentielle, c'est la rencontre d'un homme et d'un pays, d'un homme et d'un peuple.
Le temps n'est plus où les ministres claquaient du doigt, et ça obligeait tout le monde à changer. (...) Ce n'est pas au ministre de décider des méthodes de lecture.
La présence de syndicats dans l'Education nationale est une chance et non un handicap pour le pays. Nous avons besoin d'interlocuteurs, il faut leur faire confiance, ne pas les humilier.
Le pouvoir aujourd'hui, c'est un dinosaure : un tout petit cerveau pour un corps très grand, un tout petit cerveau qui prétend diriger tout le reste.
Dans le monde de l'hyper-communication, la communication entre les hommes est réduite à presque rien.
Il n'y a qu'une seule question politique : comment voulez-vous élever vos enfants ?
Je suis ému et encouragé par cet immense mouvement de confiance qui est en train de se former parmi les Français (...). Ce mouvement de confiance va aller jusqu'au 22 avril et au 6 mai, mais je ne considère nullement que c'est gagné. J'ai les pieds sur te
Car nous avons éprouvé - et le mot est juste - ce qu'est le drame de la puissance. Drame pour les dominés et, à terme, drame pour les dominateurs. Nous devons persuader les citoyens du monde de la vanité et du danger de la recherche de puissance.
Il y a aujourd'hui chez les policiers un sentiment d'une absence de reconnaissance.
Plus aucun citoyen ne croit qu'il puisse aujourd'hui changer concrètement sa vie, sa propre vie, par son bulletin de vote.
Le rassemblement, ce n'est pas la mollesse, c'est la fermeté.
Si l'on veut faire du concret, si l'on veut faire du vrai, il faut pouvoir faire travailler ensemble des gens différents.
Les étiquettes divisent et les valeurs rassemblent.
Alain Juppé offre aujourd'hui à la France une chance de construction de vie politique nouvelle.
Il faut que notre pays se lance dans la lutte contre l'exclusion sociale, en multipliant le nombre d'emplois.
Le peuple a besoin d'autre chose que de la simple satisfaction des nécessités matérielles.
Si je suis élu, rien ne changera en France.
Je ne suis pas un problème pour Alain Juppé, ceux qui me soutiennent sont une chance pour lui.