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Chaque individu a le choix d'agir. Tout commence par un choix, même si l'on mesure rarement à l'avance là où il peut conduire.
François Hollande
Il ne peut y avoir de prospérité sans sécurité.
Cette institution, qui est une institution de lâcheté... Parce que c'est quand même ça, tous ces procureurs, tous ces hauts magistrats, on se planque, on joue les vertueux... On n'aime pas le politique. La justice n'aime pas le politique.
Nous devons lutter contre toutes les peurs, et n'avoir peur de rien pour nous-mêmes.
La démocratie est en danger quand des impulsions éclipsent la raison, quand l'invective masque les perspectives, quand le tweet remplace le texte. La démocratie est menacée quand l'exemplarité vient à manquer.
Ce soir, il n'y a pas deux France qui se font face. Il n'y a qu'une seule nation réunie. Chacune et chacun dans la République sera traité à égalité de droits et de devoirs.
J'ai été élu mais dans le regard de beaucoup de Français, je ne l'étais pas devenu.
La démocratie est fragilisée quand les faits eux-mêmes viennent à être contestés, tronqués, ignorés par les manipulations, les mensonges, les falsifications.
Monsieur de ministre de l'Intérieur, qui va nous quitter peut-être pour aller en Algérie ? Il en revient sain et sauf. C'est déjà beaucoup.
Les droits des femmes sont au service de l'épanouissement de la société tout entière. La place qu'on leur fait est un révélateur de l'état d'un pays, de sa maturité démocratique comme de sa modernisation économique. Il n'y a de bonheur que dans l'égalité.
Par expérience, je peux vous le confier, les décisions qui sont prises par un président de la République vont bien au-delà d'un quinquennat, elles engagent pour longtemps.
Je suis fier d'avoir pu redonner espoir aux gens.
Parfois les mous peuvent atteindre la perfection.
Le politique du couple, c'était moi, les enfants l'avaient compris.
Un grand pays aux performances économiques aussi exceptionnelles que l'Allemagne ne peut oublier qu'il doit en partie son succès à la demande d'autres pays européens.
Ces portraits que l'on fait de moi, où l'on parle de mon soi-disant manque de charisme... C'est drôle ce décalage entre cette image caricaturale d'homme distant et froid, et ce que je suis vraiment.
Pendant des semaines, on nous avait dit : travailler plus pour gagner plus, et aujourd'hui, cela va être : travailler plus pour payer plus.
On fera des contrôles fiscaux sur tous les ministres, pour ne pas que l'on soit embêtés. Il y a un devoir d'exemplarité, voire d'invulnérabilité.
Le patriotisme économique n'est que la face cocardière du clientélisme.
Je ne veux pas laisser mon successeur et mes enfants payer la dette de la France.
Je vais vous confier mon secret, ce secret que j'ai gardé depuis longtemps mais que vous avez sans doute découvert : j'aime les gens, quand d'autres sont fascinés par l'argent.
Les résultats arrivent, plus que ce que j'avais annoncé, mais ils sont là.
La gauche a gouverné pendant 15 ans, pendant lesquels elle a libéralisé l'économie et ouvert les marchés à la finance et à la privatisation. Il n'y a pas de crainte à avoir.
Le plus grand danger, c'est le protectionnisme.
Je n'aime pas les riches ! Je n'aime pas les riches, j'en conviens.
Ce n'est pas une engeance facile, la magistrature, il ne faut vraiment pas commettre de fautes, on peut être lynché.
Je pense qu'il y a trop d'arrivées, d'immigration qui ne devrait pas être là.
Aujourd'hui, je suis regardé comme le président d'une belle France.
Mon adversaire, c'est le monde de la finance.
Il n'y a rien de plus terrible pour un soldat déjà anonyme que de mourir inconnu.
En France, nous sommes toujours fascinés par les trains et aussi par les tunnels.
Je m'inquiète quand je vois le populisme en Europe progresser, l'extrémisme et la contestation de ce qui est le fondement même de la République.
Je n'aime pas les richesses indécentes et non gagnées. Mais il est légitime pour un entrepreneur qui a créé quelque chose de bien gagner sa vie.
Ne pas faire carrière est la meilleure façon de réussir.
C'était la guerre froide et Mitterrand a nommé des communistes au gouvernement. Aujourd'hui, il n'y a pas de communistes en France...
J'entendais même qu'on me reprochait de manger des frites. Mais quelle est cette conception ?
J'ai fait des réformes, il en restera quelques-unes. Le pire, c'est de partir avec un bilan où rien ne reste. Moi, je pense qu'on pourra retenir des choses.
Je me suis donné un objectif, être le deuxième président de Corrèze et enfin le successeur de François Mitterrand.
J'aurai vécu cinq ans de pouvoir relativement absolu, finalement, puisque c'est aussi ça la V République.
Jack Lang avait toutes les quali-tés pour briguer la Prési-dence de la Répu-blique. C'est pour cela que je l'ai chau-de-ment encou-ragé à se reti-rer.
L'enjeu est de préserver nos relations avec les États-Unis. Ils ne devraient pas être changés à cause de ce qui s'est passé. Mais la confiance doit être restaurée et renforcée.
Je n'attendrai pas la fin de mon mandat pour dire que j'ai commis des erreurs au début. C'est trop tard. Je vais essayer d'adopter le bon comportement, si les Français me le permettent, dès le début.
Pour moi, il est important de préserver la proximité avec les gens. Je ne ferais rien de prétentieux et rien qui puisse blesser les gens qui ont voté pour moi. Le triomphalisme n'est pas mon truc
J'avais choisi Delors, ma vie politique aurait pu s'arrêter là.
Je suis attaché à la langue française. Je défendrai l'usage omniprésent du français.
C'est le rêve français que je veux réenchanter, celui qui a permis à des générations durant toute la République de croire à l'égalité et au progrès.
Ma responsabilité c'est de faire en sorte que la culture prenne toute sa place en France et que la France rayonne partout dans le monde grâce à la culture.
Je ne crois pas qu'il serait judicieux de laisser penser que les militants auraient cédé à je ne sais quelle pression.
Sarkozy est passé de la présidence bling-bling à la présidence couac-couac.
J'ai régulé la finance - oui, la finance.