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Rien ne m'a été donné, rien ne m'a été confié, rien ne m'a été attribué. Tout ce que j'ai, je l'ai mérité.
François Hollande
Je suis le président de la jeunesse de France.
Les terroristes croient que les peuples libres se laisseraient impressionner par l'horreur. Il n'en est rien. Ceux qui ont défié la République ont toujours été les perdants de l'histoire, il en sera ainsi encore une fois.
Je ne suis animé que par l'intérêt supérieur du pays. Aujourd'hui je suis conscient des risques que ferait courir une démarche, la mienne, qui ne rassemblerait pas largement autour d'elle ; aussi j'ai décidé de ne pas être candidat à la présidentielle.
Mélenchon, ce qui est terrible, c'est qu'il a été socialiste toute sa vie et que toute sa vie ça va le suivre.
Nous ne sommes pas n'importe quel pays de la planète. Nous sommes la France et président, il me reviendra de porter les aspirations qui sont celles du peuple de France. Tout ce que je ferai sera au nom de la République partout dans le monde.
Malgré les larmes, cette génération est aujourd'hui devenue le visage de la France. Vive la République et vive la France.
Je voudrais un Royaume-Uni pleinement engagé en Europe, mais je ne peux pas décider à la place des Britanniques.
Aujourd'hui sur cette terre du nord, le soleil s'appelle le Louvre.
Si l'intégration connaît des ratés, et il y en a, ce n'est pas la faute de la République, c'est faute de République.
La Fédération, ce n'est pas tellement des entrainements qu'elle devrait organiser, ce sont des formations. C'est de la musculation du cerveau.
Le terrorisme ne détruira pas la République française car c'est la République qui le détruira.
Parfois, le monde il est pas gentil.
Aucun acte barbare ne saura jamais éteindre la liberté de la presse. Nous sommes un pays unis qui saura réagir et faire bloc.
Nous éradiquerons le terrorisme car nous sommes attachés à la liberté, nous éradiquerons le terrorisme pour que la France continue à montrer le chemin.
Le tout, c'est de mieux terminer le mandat qu'il n'est commencé.
Faire simple, ce n'est pas faire médiocre, ou même banal, c'est au contraire avoir le respect des français, être exemplaire.
Les rythmes de notre démocratie ne sont pas soumis au chantage des terroristes.
Le 6 mai doit être une grande date pour notre pays, un nouveau départ pour l'Europe, une nouvelle espérance pour le monde.
Nelson Mandela était déjà entré dans l'Histoire de son vivant. Mort, il prend place dans la conscience universelle.
Toute victoire a sa part de poison, je m'attends à de la colère et peut être même à de la violence.
Je suis le président des bisous.
La gauche, je ne l'ai pas reçue en héritage, je l'ai choisie.
L'amitié franco-allemande est indispensable pour l'Europe. Et je ne me laisserai jamais entraîner à faire des déclarations qui changeraient les choses.
Je dis toujours oui a priori, je trouve insupportables les gens qui disent toujours non. Cette méthode n'a pas dû être mauvaise pour en arriver là où j'en suis ! Mitterrand faisait cela, il laissait les choses croupir, et ensuite il prenait les décisions. Jospin, lui, avait théorisé l'équilibre. Il fallait toujours être à l'équilibre.
La Shoah, le plus grand crime jamais connu et jamais.
Je n'ai qu'un seul regret : avoir proposé la déchéance de nationalité.
L'austérité ne doit pas être le destin de l'Europe.
La République, c'est un mouvement, c'est une construction, c'est une passion. Une passion généreuse. Une passion rationnelle. Une passion rassembleuse. Avec toujours le refus radical de la fatalité.
Mon objectif est de remettre la France sur pied. Je dois remettre ce pays sur pied.
J'aurais pu faire fortune dans les cheeseburgers, mais j'ai finalement choisi la politique.
Moi, président de la République, je n'ai jamais été mis en examen. [...] Je n'ai jamais espionné un juge, je n'ai jamais rien demandé à un juge, je n'ai jamais été financé par la Libye.
La France vient de loin. Elle porte au loin. Elle doit voir loin.
Ce qui distingue la France des autres pays, c'est la tradition de solidarité sociale. Des personnes de tous les horizons et de toutes les positions politiques sont disposées à contribuer aux services et à la protection de la société dans son ensemble, mais à condition que l'argent soit dépensé de manière efficace et que chacun paye sa part.
C'est le petit de Gaulle. On a eu Napoléon le petit, eh bien, là, ce serait de Gaulle le petit. (En évoquant Sarkozy)
L'exercice du pouvoir ne m'a jamais fait perdre ma lucidité.
Un programme d'éducation est, par définition, un programme sociétal. Le travail devrait être effectué à l'école plutôt qu'à la maison.
En élection, il faut à la fois espoir et audace.
Toutes les décisions que je prends, je les prends seul avec moi-même, dans un dialogue singulier.
Le combat des femmes m'a permis d'être un meilleur père.
Quand le candidat devient président, il y a toujours un risque : livrera-t-il ce qu'on attend de lui ?
Si vous êtes en colère venez voter. Le principal c'est d'aller voter et de ne pas attendre le lendemain du vote pour protester.
Pour peser dans le monde de demain, pour défendre nos valeurs et notre modèle de développement, la France a besoin de l'Europe et l'Europe a besoin de la France.
La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.
Ce n'est pas la loi du siècle la loi Macron, c'est une loi pour le siècle prochain.
Notre-Dame est notre patrimoine commun, c'est une blessure de la voir ainsi ravagée par les flammes. Hommage aux pompiers qui œuvrent pour éteindre l'incendie.
La sortie de l'euro, de l'Union européenne, ce serait une sortie de route une sortie de l'histoire. C'est le village d'Astérix sans la potion magique.
Qu'est-ce que cela veut dire le "patriotisme économique" ? Cela veut dire que, face à un coup qui a été porté à l'économie mondiale et à la population, nous devons réagir avec responsabilité, sérénité et dignité - et donc, volonté.
En tant que président, je serai comme le candidat que je suis, un candidat respectueux, un candidat rassembleur, un candidat normal à une présidence normale, au service de la République.
Chaque nation a une âme. L'âme de la France, c'est l'égalité.