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Je ne sais rien faire. Même pas changer les plombs ou planter un clou.
François Mitterrand
A tous, la France dit : "Courage, la liberté vaincra." Et si elle le dit depuis la capitale du Mexique, c'est qu'ici ces mots possèdent tout leur sens.
L'histoire passe par les mêmes chemins que la géographie.
Etre enseignant, ce n'est pas un choix de carrière, c'est un choix de vie.
Dans les épreuves décisives on ne franchit correctement l'obstacle que de face.
Dans la vie politique, il faut être offensif. Si on se défend, on a déjà perdu.
Je me méfie pourtant de l'intuition, science de ceux qui bougent : le vrai savoir est sédentaire.
Les grandes fortunes ne se font pas sur les chemins de la vertu.
Il n'y a eu qu'un vainqueur le 10 mai 1981, c'est l'espoir. Puisse-t-il devenir la chose de France la mieux partagée !
Le progrès n'a que l'âme de celui qui s'en sert.
Je crois pour demain comme hier à la victoire de la gauche, à condition qu'elle reste elle-même. Qu'elle n'oublie pas que sa famille, c'est toute la gauche. Hors du rassemblement des forces populaires, il n'y a pas de salut.
La liberté et la démocratie exigent un effort permanent. Impossible à qui les aime de s'endormir.
Quand on est dans l'action, il n'y a pas d'immense déception !
A côté des vrais grands hommes existent ceux qui croient l'être, innombrables, perchés à chaque étage de l'échelle des grandeurs.
Vous avez tout à fait raison, Monsieur le Premier Ministre...
Delors ?... il hésiterait même entre l'aspirine et l'euthanasie.
Sur le chantier de ces valeurs toujours neuves, pour ces combats de chaque jour qui se nomment liberté, égalité, fraternité, aucun volontaire n'est de trop.
Quand un ministre s'exprime à la télé, on a toujours l'impression qu'il commence à s'excuser.
Le journaliste, lui peut écrire n'importe quoi et se tromper sur tout, cela ne change rien, ses journaux se vendent toujours aussi bien ou aussi mal.
Le courage consiste à dominer sa peur, non pas à ne pas avoir peur.
La vieillesse n'est pas une question de mort, c'est une question de santé puisque la mort est certaine.
Mieux vaut maintenir en place un adversaire docile qu'installer un ami indocile.
Que serait la francophonie si personne ne parlait français ?
Gouverner, ce n'est pas plaire.
Quel premier communiant n'a rêvé d'être pape ?
Une cause juste n'a pas besoin de recourir à l'injustice pour vaincre. Mais une cause juste n'a pas non plus besoin, pour vaincre, de mobiliser les sots.
La foi, lorsqu'elle s'empare d'un esprit ou d'une âme, est plus forte que la raison scientifique.
Quand l'Europe ouvre la bouche, c'est pour bâiller.
Pas de plus sûre prison que l'espoir pour le lendemain.
Les nationalisations sont bonnes dès lors qu'il s'agit de mettre à la raison un monopole dans un secteur clé de l'économie.
Le destin de la Seine est-il d'arroser Paris ou bien d'aller à l'Océan ?
Si on ne rejette pas le monde, il faut vouloir le conquérir.
La jeunesse n'a pas toujours raison, mais la société qui la frappe a toujours tort.
L'homme d'Etat se distingue à sa capacité de prendre en compte les terres inconnues, une fois le reste exploré.
Quand la France rencontre une grande idée, elles font ensemble le tour du monde.
Pour le temps qui vient je ne désire qu'approfondir nos raisons d'assortir notre incomparable entente de la beauté et de la grâce dont j'écoute en vous comme en l'approche.
Pour dire oui, il faut pouvoir dire non.
Ecrire, c'est vider son sac.
Je ne me plains pas de la presse, soit que je me sois habitué, soit que je me sois résigné.
La vie... On commence, on continue, on vieillit, on disparaît. C'est un rythme général.
Je n'ai pas peur de mourir, j'ai peur de ne plus exister.
L'habitude, ce confort mortel.
Les Français commencent à comprendre que c'est l'entreprise qui crée la richesse, qui détermine notre niveau de vie et notre place dans la hiérarchie mondiale.
Qui aime la mort aime la vie.
J'entend toujours dire que Dieu est juste. Je me demande ce qui permet d'appuyer cette assertion.
J'aime les Américains, pas leur politique.
L'économie c'est simple. C'est deux colonnes : une colonne dépenses et une colonne recettes. N'importe quelle ménagère vous le dirait.
Nous allons d'abord rassembler - c'est fait -, unifier - je le crois - au-delà de nos personnes et de nos groupes et de nos tendances tous les courants du Socialisme.
Dieu ? Je ne sais pas si j'y crois. J'ai des regrets de ne plus avoir une conception aussi simple de la création et de son créateur.
L'homme ne pourra plus accepter de travailler sans créer ni participer aux décisions.