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La chair est éducative aussi bien que les livres, et les sens appartiennent à l'esprit.
Françoise Parturier
Le XXème siècle est la peau de chagrin de l'homme occidental qui aura vu rétrécir son empire terrestre et familial au rythme de ses désirs d'universalité.
Diviniser la femme ou l'abaisser, c'est toujours la tenir à distance.
Tout conjoint trouve que sa moitié a un caractère entier chaque fois qu'elle ne se met pas en quatre pour lui.
Chez les femmes, la petite fleur bleue a des racines de chêne.
Adultère : c'est la distraction des femmes mariées.
L'unique préoccupation d'un couturier doit être celle-ci : est-ce que cette robe donnerait à un homme l'envie de déshabiller la femme qui la portera ? Si oui, la robe est réussie.
Nous sommes au point de tangence de deux civilisations où saint Paul et Karl Marx se donnent la main pour châtrer l'Occident. Le désir sera bientôt en conflit avec l'Univers entier.
Je m'étonne qu'aucun surréaliste n'ai peint Dieu jouant au bilboquet avec la Terre sur un phallus.
To bed or not to bed ?
Les hommes divisent instinctivement les femmes en deux catégories : les femmes comme il faut et les femmes comme il en faut... L'ange et la bête. Diviniser la femme ou l'abaisser, c'est toujours la tenir à distance.
L'esprit d'une femme est reconnu dès qu'il sert la gloire de l'homme ou son plaisir.
La femme n'est pas un être inférieur, c'est l'homme qui est un être supérieur...
La vérité est une bombe dont les effets tuent à la fois celui qui la lance et celui qui la reçoit.
Une loi naturelle veut que l'on désire son contraire, mais que l'on s'entende avec son semblable. L'amour suppose des différences. L'amitié suppose une égalité, une similitude de goûts, de force et de tempérament.
On ne se console du sentiment de la fugitivité qu'au couvent ou au lit.
Je ne sais pas si le coeur des femmes est plein de surprises mais celui des hommes est bien monotone dans sa lâcheté ?
Les hommes pissent debout et c'est grande merveille de voir les plus intelligents, les plus cultivés, en tirer gloire et s'en esbaudir.
Le mépris de la sensation est un parricide pour la pensée.