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Un homme politique réduit souvent sa vie et sa vision du monde à quelques phrases simplistes qui lui servent de slogans pour se faire comprendre du plus grand nombre. On n'attire pas la foule avec des arguments, on la séduit avec des formules.
Frank Andriat
L'écrivain, c'est un peu comme un magicien qui, d'un coup de plume, peut transformer toutes les causes perdues et offrir ainsi du rêve et du bonheur aux autres.
Quelle que soit l'époque, quelle que soit la culture, quels que soient le pays et les traditions, celui qui veut réussir doit se bouger les fesses et fournir des efforts.
La vraie amitié, la vraie fraternité, ce n'est pas derrière un écran qu'on la trouve, mais dans la main de l'autre qu'on serre.
A force de mater des films pornos, certains confondent leur coeur avec leur cul.
Engluer d'abord, étouffer ensuite, pour que les gens vivent heureux sans se rendre compte qu'ils sont déjà morts : la politique est un art arachnéen auquel tous ne peuvent s'adonner avec bonheur.
Quand on chatte, on demeure superficiel. On peut difficilement faire autrement. C'est un peu comme si on causait dans la rue ou dans le métro. Le monde est là qui entend tout ce qu'on dit. Alors, on reste léger.
Dans la vie, même dans l'obscurité, la lumière est toujours présente.
Un écrivain, quelle que soit la manière dont il écrit, est universel et intemporel quand il réussit à toucher notre humanité : peu importe alors l'époque où il a vécu !
Celui qui fuit les autres commence toujours par se fuir lui-même.
C'est l'histoire du serpent qui se mord la queue : les racistes créent les extrémistes et ceux-ci persuadent les racistes qu'ils ont raison de l'être.
C'est quand même chouette d'encore pouvoir croire à l'amour. Pas à la baise, à l'amour, au sentiment qui vous emporte le coeur jusque dans les étoiles. J'ai parfois l'impression que notre époque oublie d'être romantique, qu'elle oublie d'aimer.