Images
Moi à la base, je voulais faire prêtre mais comme je suis trop timide pour aborder les enfants...
Gaspard Proust
Sans le nazisme, on n'aurait pas les clés pour comprendre la Grande Vadrouille.
La holà, ce double salut nazi socialement acceptable.
Strangers in the night ! Syphilis in the morning.
La femme célibataire, on la voit tout de suite : avec ses petits yeux de Roumaine qui a raté son adoption.
Je souffre terriblement d'une maladie orpheline pour laquelle il n'existe nul Téléthon. Je suis un insomniaque pervers, c'est-à-dire que, la nuit, je rêve que j'arrive pas à dormir.
Il faut avoir le courage de reconnaître que le nazisme a commis des erreurs. Envahir la Pologne au lieu de la Suisse, c'est comme habiter en face de la banque centrale et braquer le kebab.
Le nazisme c'est un peu comme un meeting de Ségolène Royal mais avec des idées.
Moi je suis un bon catholique fervent. Quand je trompais ma femme, c'était toujours sans capote.
C'est donc ça, l'amour : faire des créneaux dans une impasse.
Les Etats-Unis, pays du tiers monde dans la mesure où ils ont été découverts par un Portugais, abritent la plus forte communauté d'Américains vivant en dehors de l'Irak.
Je me suis déjà mis à la place d'un handicapé, surtout à celle du parking.
L'amour, vous savez, cette chose merveilleuse qui peut exister entre un homme et une femme, une femme et une femme, ou un homme et deux femmes.
J'ai très longtemps voulu faire prêtre. Mais j'étais trop timide pour aborder les enfants.
Michel Houellebecq, le Paolo Coelho de la branlette désenchantée.
Je suis un cartésien désabusé : je pense, donc je suis, mais je m'en fous !