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Moi, conspirateur ! Je baise ma femme tous les soirs.
Georges Jacques Danton
Si je pouvais laisser mes couilles à Robespierre, cela durerait encore un peu.
Une nation se sauve, elle ne se venge pas.
Que devons-nous aux décrets ?- L'obéissance et le respect. Mais rien ne peut nous ôter le droit de montrer dans des pétitions, les sentiments qu'on a pour tels ou tels décrets.
Je vous l'avouerai citoyens, je croyais qu'il s'agissait d'une tragédie que vous devez donner en spectacle à toute l'Europe. Je croyais qu'aujourd'hui vous deviez faire tomber la tête du tyran et c'est d'une misérable comédie dont vous vous occupez
Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut bien la peine.
Il est temps de rétablir ce grand principe qu'on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la République avant d'appartenir à leurs parents. Personne plus que moi ne respecte la nature. Mais l'intérêt social exige que là seulement doivent se réunir les affections.
Nous deviendrons tous poètes, nous allons tous faire des vers.
Est-ce qu'on emporte pas la patrie à la semelle de ses souliers ?
Je demande si vous n'avez pas voté à la majorité absolue seulement la république, la guerre ; et je demande si le sang qui coule au milieu des combats ne coule pas définitivement ? Les complices de Louis n'ont-ils pas subi immédiatement la peine, sans aucun recours au peuple, et en vertu de l'arrêt d'un tribunal extraordinaire ? Celui qui a été l'âme de ces complots mérite-t-il une exception
La nature m'a donné en partage les formes athlétiques, et la physionomie âpre de la liberté.
Ma demeure sera bientôt dans le néant, quant à mon nom, vous le trouverez dans le panthéon de l'histoire.
La vérité, l'âpre vérité.
Que le riche paye, puisqu'il n'est pas digne, le plus souvent, de combattre pour la liberté ; qu'il paye largement et que l'homme du peuple marche dans la Vendée.
Après le pain, l'éducation est le premier besoin d'un peuple.
Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée.
C'est dans les écoles nationales que l'enfant doit sucer le lait républicain. La République est une et indivisible. L'instruction publique doit aussi se rapporter a ce centre d'unité.
Qui hait les vices, hait les hommes.
Je ne suis point de cette foule d'hommes d'État qui ignorent qu'on ne compose pas avec les tyrans, qui ignorent qu'on ne frappe les rois qu'à la tête, qui ignorent qu'on ne doit rien attendre de ceux de l'Europe que par la force de nos armes ! Je vote la mort du tyran
Mais, citoyens, imposer les riches, c'est les servir ; c'est un véritable avantage pour eux qu'un sacrifice considérable ; plus le sacrifice sera grand sur l'usufruit, plus le fonds de la propriété est garanti contre l'envahissement des ennemis.
Dans la première Assemblée constituante, Marat n'était ni moins terrible aux aristocrates, ni moins odieux aux modérés. Eh bien ! Marat y trouva des défenseurs il disait aussi que la majorité était mauvaise, et elle l'était.
Il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée.
C'est singulier, le verbe guillotiner ne peut pas se conjuguer dans tous ses temps ; on peut bien dire : Je serai guillotiné, tu seras guillotiné, mais on ne dit pas : J'ai été guillotiné.
Que la pique du peuple brise le sceptre des rois.