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C'est la mémoire qui soude les choses à sa façon.
Gilbert La Rocque
Les héros aussi connaissent l'angoisse.
L'usure qui s'appelle le temps.
Cette espèce de solitude disponible que les gens appellent souvent liberté.
Le temps ne vaut que par ce qu'on y met.
Les modifications se créent d'elles-mêmes au fur et à mesure que nous vivons et que nous pénétrons au coeur des choses.
La violence n'a pas de langage.
Il y a inévitablement dans n'importe quelle vie des circonstances qui ne passent pas dans les paroles.
Chacun sa mort, on a celle qu'on mérite, ça ne sert à rien de vouloir la reconnaître, elle n'a jamais le même visage, et au fond pour chacun elle ne peut ressembler qu'à soi-même.
Ce malheur ultime de n'être pas capable de cesser d'aimer alors que l'amour même est un mal qui vous tue.
Il y a un langage pour chaque situation.