Images
Le mariage, c'est des compromis et des efforts, et encore des efforts, et de la communication, et des compromis. Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance.
Gillian Flynn
J'ai fait des efforts démesurés pour être facile à vivre. Mais c'était intenable.
Je n'étais pas une enfant aimable, et je suis devenue une adulte profondément mal aimable. Si on voulait dessiner mon âme, on obtiendrait un gribouillis avec des crocs pointus.
Les individus ironiques se dissolvent toujours quand ils sont confrontés à la sincérité, c'est leur kryptonite.
Je n'ai rien d'autre à ajouter. Je voulais simplement m'assurer que j'avais le dernier mot. Je trouve que je l'ai bien mérité.
On dit que les enfants de familles éclatées en voient de toutes les couleurs, mais les enfants d'unions bénies ont leurs propres défis à affronter.
C'était idiot, mais incroyablement touchant, ces gens qui dépensaient une telle énergie à essayer de me comprendre.
Les médias ont saturé l'univers juridique. Avec Internet, Facebook, YouTube, les jurys impartiaux, ça n'existe plus. On ne part jamais de zéro. 80, 90 % d'une affaire se décide avant même d'entrer dans une salle d'audience.
Ainsi mon père est parti et ma mère, mince et affligée, est devenue grosse et contente raisonnablement grosse et contente comme si ça avait été sa nature depuis toujours : un ballon dégonflé qui respirait de nouveau de l'air.
Il y a une différence entre aimer vraiment quelqu'un et aimer l'idée qu'on se fait de quelqu'un.
Il faut que tu choisisses ton camp. Tu peux passer le restant de ta vie à essayer de découvrir ce qui s'est passé, à essayer de raisonner. Ou tu peux simplement te faire confiance à toi-même.
Je suis un mari formidable, dans la mesure où j'ai très peur qu'elle ne me tue.
C'est très féminin, n'est-ce-pas, de prendre une virée entre mecs et de la grossir en infidélité conjugale qui va détruire notre mariage ?
Les gens aiment bien s'imaginer qu'ils connaissent les autres : les parents veulent croire qu'ils connaissent leurs enfants. Les femmes veulent croire qu'elles connaissent leurs maris.
Je sais que faire accuser son mari de son propre meurtre dépasse les bornes de ce qu'on admet d'une femme ordinaire.
Le sommeil, c'est comme un chat, il ne vient vous voir que si vous l'ignorez.
Les meurtres m'avaient laissée complètement déphasée par rapport à ce type d'appréciation : je partais du principe que le pire pouvait toujours se produire, puisque le pire s'était déjà produit.
Pub pour tampons, du détergent, des serviettes hygiéniques, de l'Ajax. On croirait que tout ce que font les femmes, c'est nettoyer et saigner.