Citations de Henri Jeanson

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Les cimetières sont pleins de gens arrivés.

Pourquoi le public va-t-il à un spectacle plutôt qu'à un autre ? Parce qu'il suit la foule !

La chance, ce n'est pas une question de veine. Il faut la vouloir.

Les jeunes filles tiennent à l'estime de ceux qu'elles aiment. Après.

Ce n'est plus un navet, c'est un oignon.

Ces vieillards qui courent après leur jeunesse et qui n'attrapent qu'un chaud-et-froid.

Vous savez pourquoi les généraux sont si bêtes... ? - Parce qu'on les recrute chez les colonels.

Les producteurs de cinéma ? J'en ai connu beaucoup de ruinés, aucun de pauvre.

Papa était général. - Et qu'est-ce qu'il pense de tout ça, ton père ? - Rien. Il est mort à la déclaration de guerre. L'émotion... Il s'y attendait si peu !

Quand on meurt on perd le goût de la vie. Quand on casse sa pipe, on perd le goût du tabac.

On est jeune tant que l'on sait dire "non". Premier "oui" première ride.

Nous avons choisi, pour lui couper la tête, le seul roi qui n'en avait pas.

Une bonne colère vaut mieux qu'une bonne douche. La douche fatigue, la colère apaise...

L'homme a tort d'oublier que la femme est son ennemie héréditaire : c'est un oubli qui ne pardonne pas.

Le prédident du parti radical et radiricard-socialiste, c'est un homme d'Etat, surtout d'état d'ébriété.

Ce qui me perd, c'est qu'à ce moment-là, je n'ai plus ma tête. Quand je la retrouve, tout est terminé.

Il est plus facile de faire acquitter un coupable qu'un innocent, c'est bien connu.

Un peintre a l'âge de ses tableaux ; un poète a l'âge de ses poèmes ; un scénariste a l'âge de ses films. Seuls les imbéciles ont l'âge de leurs artères.

Je n'ai qu'un conseil à vous donner : celui de devenir quelqu'un... Seulement voilà, qui ?

C'était un producteur qui ne produisait rien, même pas une bonne impression.

En France, le ridicule ne tue pas. On en vit.

La liberté, c'est un peu comme l'argent. Il ne suffit pas d'être riche pour savoir dépenser.

Jeux de mots... Jeux de vilains !

On ne vit que d'illusions. Les apparences sont infiniment plus savoureuses que les réalités.

Je ne suis pas superstitieux, parce que la superstition ça porte malheur.

Peur de la mort... - Pourquoi craindre l'inévitable ? - D'ailleurs, j'étais déjà mort en 1610 puisque je n'existais pas. - Je ne m'en portais pas plus mal.

Tu ferais un excellent critique. Tu parles fort bien de ce que tu connais mal...

L'argot, c'est le latin des affranchis.

La crédulité est la force principale des armées.

L'amitié entre un homme et une femme, ça n'a pas cours, c'est de la fausse monnaie !

Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme ; et le marxisme, c'est le contraire.

Il ne faut pas peindre ce qu'on voit, il faut peindre ce qu'on sent. La ligne du dessin doit toujours être un peu la ligne du coeur... prolongée.

Elle est tellement mauvaise qu'elle se siffle elle-même en parlant.

Elle a les jambes comme l'Arc de Triomphe, mais son poilu n'est pas inconnu.

La liberté est une peau de chagrin qui rétrécit au lavage de cerveau.

C'est avec les épouses tristes qu'on fait les veuves joyeuses.

Le coeur sur la main quand il faut, et la main sur la figure quand c'est nécessaire !

Fermer les yeux... c'est une manière comme une autre de tirer les rideaux.

Un sexagénaire, c'est un homme qui se souvient encore du temps où l'on dansait avec ses pieds.

Si vous arrivez en avance à un rendez-vous, vous êtes un anxieux ; si vous arrivez en retard, vous êtes un agressif ; si vous arrivez à l'heure, vous êtes obsédé ; si vous ne venez pas, vous êtes un "demeuré".

Il a fait Kafka dans sa culotte...

Si l'on ne souffrait pas de temps en temps, le bonheur ne serait plus supportable.

Les amis... faut les prendre tout petits ! Trop grands, c'est trop tard !

Avoir l'air d'un faux-jeton à ce point-là, c'est vraiment de la franchise.

La vie est aussi vide que la tête d'un adjudant-chef. Il ne s'y passe rien, il faut tout inventer.

Le travail est un trésor. Le travail des autres, cela va de soi.

Les souvenirs ? Des verres vides. On ne sait plus ce qu'ils contenaient, ni si on a bu avec plaisir ou dégoût, mais on est quand même soûl...

Vous ressemblez furieusement à votre écriture.

Personne n'est heureux tout le temps. Ce n'est pas joli d'être gourmand... après, on a mal au coeur.

Les affaires de coeur et le vin, cela va bien ensemble... Qui vide son verre, vide son coeur.

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Nicolaï Karamzine Néocles Régis Hauser Ostad Elahi Joseph-Alexandre de Ségur Serge Bilé Sidney Lumet Proverbe Nigérien Nathan Malory Gilbert Couture Silvana Gandolfi J. Richardson Parke