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Il est si peu d'enfants à égaler leurs pères ; pour tant qui peuvent moins, combien peu peuvent plus !
Homère
Ne faire de mal à personne et n'en point dire.
La santé, c'est un esprit sain dans un corps sain.
Ceux qui se ressemblent s'assemblent.
Il n'est pas de pacte loyal entre les hommes et les lions.
Aujourd'hui, il n'est rien de sacré pour les femmes.
Je l'appelle mon grand ami, bien qu'il soit loin de moi.
L'adresse, plus que la vigueur, fait le bon bûcheron. L'adresse permet au pilote, sur la mer vineuse, De diriger son navire assailli par les vents.
Parmi les hommes, périsse la colère qui trouble le plus sage, et qui, plus douce que le miel liquide, se gonfle, comme la fumée dans la poitrine des hommes !
Zeus et vous autres, dieux, faites que mon fils que voici soit comme moi distingué parmi les Troyens.
Le dieu mène toujours le semblable vers le semblable.
Rien n'est plus admirable qu'un mari et une femme qui portent le même regard sur le monde, déconcertant ainsi leurs ennemis et enchantant leur amis.
Ah ! qu'un monceau de terre recouvre mon cadavre plutôt que d'entendre jamais tes cris et ta capture !
Le sommeil est le frère jumeau de la mort.
Ce sont mes regrets, mes soucis, noble Ulysse, c'est la tendresse pour toi qui m'ont privée de la vie douce comme le miel !
L'union même de la médiocrité fait la force.
Il n'est pas de moment plus gracieux dans la vie que l'instant où les convives, assis autour de la table bien dressée, prêtent l'oreille au chantre, tandis que l'échanson, puisant le vin dans l'amphore, remplit les coupes à la ronde.
Elle est douce, la terre, aux voeux des naufragés, dont Poséidon en mer, sous l'assaut de la vague et du vent, a brisé le solide navire.
Je suis morte, j'ai subi mon destin. C'est le regret, le chagrin de ton absence, mon noble Ulysse, et le souvenir de ta douceur qui m'ont ôté la vie.
La persuasion repose sur les lèvres d'un ami fidèle.
Allons, viens ici, Ulysse tant vanté, gloire illustre des Achéens, arrête ton vaisseau pour écouter notre voix !
L'esprit des jeunes hommes toujours flotte à tout vent. Quand un vieillard est avec eux, il voit, en rapprochant l'avenir du passé, comment il est possible d'arranger tout au mieux, à la fois pour les deux parties.
Patience mon coeur !
Quelle parole a franchi la barrière de tes dents ?
Vous n'avez devant vous qu'un pauvre naufragé. Puisqu'il nous est venu, il doit avoir nos soins : étrangers, mendiants, tous nous viennent droit de Zeus. Allons, femmes ! petite aumône, grande joie ! donnez à l'étranger de quoi manger.
Le plus sot s'instruit par l'événement.
Le sommeil et la mort sont des frères jumeaux.
Prends en toi-même, un petit coup, car à l'homme fatigué, le vin donne une grande force.
Les dieux ne dispensent point également leurs dons à tous les hommes, la beauté, la prudence ou l'éloquence.
Etranger, ma coutume est d'honorer les hôtes.
Malheureux, souviens-toi de ta patrie, si toutefois il est dans ta destinée de survivre et de rentrer dans ta haute demeure et dans la terre de ta patrie.
Daigne m'envoyer en présage ton aigle, rapide messager, entre tous les oiseaux le plus cher à ton coeur et le plus vigoureux.
D'où qu'il vienne, l'homme courageux est celui qui accomplit le mieux tout ce qu'il fait.
Il n'y a point de plus grande gloire pour les hommes que celle d'être brave par les pieds et par les bras.
Petite aumône, grande joie.
Il ne faut pas dédaigner les dons glorieux des immortels que seuls ils peuvent accorder et que personne ne peut refuser à son gré.
Je t'assure que nous autres morts avons le plus violent désir de retrouver notre vie corporelle.