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Mon père était un saint, pas moi.
Indira Gandhi
L'immédiat est souvent l'ennemi de l'ultime.
Chaque fois que vous faites un pas en avant, vous dérangez quelque chose ou quelqu'un.
Je pense que l'on devrait faire ce qui semble juste. Et si ce qui semble juste implique un danger... eh bien, il faut risquer le danger.
Les personnes aux poings serrés ne peuvent pas serrer la main.
Ma théorie est que les hommes ne sont pas plus libérés que les femmes.
Comme je le dis toujours, je ne vous souhaite pas de temps facile, mais je vous souhaite que, quelle que soit les difficultés que vous pourriez avoir, vous les surmonterez.
N'oublie jamais que lorsque nous sommes silencieux, nous sommes un. Et quand nous parlons, nous sommes deux.
Parfois, les amis sont dangereux. Nous devons faire très attention à l'aide que les amis nous apportent.
La vie est un processus continu d'ajustement.
Pour être libérée, la femme doit se sentir libre d'être elle-même, non en rivalité avec l'homme mais dans le contexte de sa propre capacité et de sa personnalité.
Mon grand-père m'a dit une fois qu'il y avait deux sortes de personnes : ceux qui font le travail et ceux qui en ont le mérite. Il m'a dit d'essayer d'être dans le premier groupe ; il y avait beaucoup moins de concurrence.
N'oublions pas qu'en Inde le symbole de la force est une femme ; la déesse Shakti.
Le martyre ne finit pas quelque chose, ce n'est qu'un début.
Maintenant, je ne suis pas dérangé par les choses désagréables, je ne joue pas la victime, et je suis toujours prête à accepter la vie.
Il y a deux genres de personnes, ceux qui font le travail et ceux qui en prennent le crédit. Tentez d'être du premier groupe ; il y a moins de compétition.
Etre mère, femme au foyer, n'a jamais étè un sacrifice - j'ai savouré chaque minute de ces années.
Les opportunités ne sont pas offertes. Elles doivent être arrachées. Et cela demande de la persévérance... et du courage.
Le but de la vie est de croire, d'espérer et de lutter.
J'étais une parfaite femme au foyer. Etre mère a toujours été le métier que j'aimais le plus.
Le pardon est une vertu des braves.
Je n'ai jamais compris les femmes qui, à cause de leurs enfants, se font passer pour des victimes et ne se permettent aucune autre activité.
Mon père me dit une fois, que dans ce monde il y a deux catégories de gens, ceux qui font le travail, et ceux qui en prennent l'éloge. Il me dit alors qu'il faut toujours essayer d'appartenir à la première catégorie ; il y'a moins de concurrence.
Rien de ce qui en vaut la peine n'est jamais facile.
Le bonheur c'est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles.
Les gens ont tendance à oublier leurs devoirs mais se souviennent de leurs droits.
Je ne peux pas comprendre comment quelqu'un peut être Indien et ne pas être fier.
Il est de notre devoir de créer un milieu social dans lequel les jeunes et les personnes socialement faibles sentent que le présent et le futur leur appartiennent.
Chaque nouvelle expérience apporte sa propre maturité et une plus grande clarté de vision.
Le pouvoir de questionner est la base de tout progrès humain.
Je suis fière d'avoir passé toute ma vie au service de mon peuple... Je continuerai à servir jusqu'à mon dernier souffle et quand je mourrai, je pourrai dire que chaque goutte de mon sang fortifiera l'Inde.
Il faut se méfier des ministres qui ne peuvent rien faire sans argent, et de ceux qui veulent tout faire avec de l'argent.
La popularité n'est pas une garantie de qualité.
Les femmes vont parfois trop loin, c'est vrai. Mais c'est seulement quand vous allez trop loin que les autres écoutent.
Cela ne me dérange pas si ma vie est au service de la nation. Si je meurs, chaque goutte de mon sang vivifiera la nation.
La politique est l'art d'acquérir, de détenir et de détenir le pouvoir.