Citations de Jacques Chirac

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J'ai quelque peine à comprendre l'ostracisme que notre gouvernement manifeste à l'égard de l'Union sud-africaine. L'Union, de par la situation qu'elle occupe sur la route du pétrole, de par ses richesses minières, de par son opposition à la propagation de mouvement subversifs […] mériterait qu'on la traite avec plus de considération.

La véritable démocratisation de l'école est celle qui donne à chaque enfant le maximum de chances.

La politique n'est pas seulement l'art du possible. Il est des moments où elle devient l'art de rendre possible ce qui est nécessaire.

On ne peut pas être un homme d'Etat si l'on ne sait pas garder un certain équillibre.

Le temps de l'enfance est court. Il ne se rattrape pas.

J'aime Paris, je lui ai donné ce que je pensais être le meilleur de moi-même.

Si vous saviez le plaisir que j'ai pu éprouver à passer pour un blaireau, surtout au milieu de corniauds.

Dès que je dis la vérité, personne ne me croit. Je suis bien obligé de mentir.

Le 17 septembre 1981, je fais partie des seize députés d'opposition […] qui votent l'abolition de la peine de mort. J'ai toujours été hostile à la peine de mort, estimant qu'en aucun cas elle ne saurait constituer un acte de justice. Personne, selon moi, n'est en droit de porter atteinte à la vie humaine.

Aujourd'hui, on rapporte une histoire abracadabrantesque.

La politique n'est pas une passion pour moi.

Le courage, c'est de ne pas avoir peur.

Mais qu'est ce qui lui arrive à la 2, il faut faire chauffer l'appareil ou quoi ?

Le changement est la loi de la vie humaine, il ne faut pas en avoir peur.

L'humanité souffre. Elle souffre de mal-développement, au nord comme au sud, et nous sommes indifférents. La terre et l'humanité sont en péril et nous en sommes tous responsables.

Je n'aurai jamais d'explication d'homme à homme avec Edouard Balladur. Je ne l'ai d'ailleurs pas cherchée.

Ne composez jamais avec l'extrémisme, le racisme, l'antisémitisme ou le rejet de l'autre.

J'ai toujours été hostile à la peine de mort, estimant qu'en aucun cas elle ne saurait constituer un acte de justice.

Le vrai combat de la France, le beau combat de la France, c'est celui de l'unité, c'est celui de la cohésion. Oui, nos valeurs ont un sens ! Oui, la France est riche de sa diversité ! Oui, l'honneur de la politique, c'est d'agir d'abord pour l'égalité des chances ! C'est de permettre à chacun, à chaque jeune, d'avoir sa chance.

Il y a, dans le peuple français, des trésors d'intelligence, de combativité et de vertu.

Méfions-nous des masques multiples de l'extrême-droite. Elle n'est pas un populisme cocardier mâtiné de gros bon sens et du respect des traditions.

L'Etat doit être un garant et non un gérant.

Je ne suis pas un voleur, je suis président de la Republique...

La timidité est l'un des patrimoines de l'homme.

Bientôt les bébés éprouvettes emprunteront les autoroutes de l'information !

Je ne suis pas sûr de l'évolution de l'état de la Seine depuis que j'ai quitté la Ville de Paris.

Le Français est un critique par essence, c'est un de ses charmes...

Il faut toujours être méfiant à l'égard des Britanniques. Notre histoire aurait dû nous l'enseigner.

Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer et nous refusons de l'admettre.

La République ne transige pas quand l'âme même du peuple français est en question.

J'ai décidé de dissoudre l'Assemblée Nationale.

Le Président de la République n'est pas un citoyen comme les autres dans notre pays, comme dans aucune démocratie.

Le secret, c'est la meilleure et la pire des choses. La pire si l'on se referme sur soi. La meilleure quand on veut jouer l'effet de surprise.

Monsieur le président, je préfère vous dire tout de suite que je ne suis pas musicien. Interrogez-moi sur l'archéologie, la peinture, la sculpture, la poésie. Pas sur la musique.

Le plus difficile, dans l'exercice du pouvoir, est de se doter de collaborateurs qui osent affirmer ce qu'ils pensent à celui qui les dirige, sans craindre de lui déplaire, ni se contenter d'abonder dans le sens de ce que lui, selon eux, souhaite entendre.

Prenons garde que notre esprit critique ne se transforme en esprit de dénigrement systématique...

C'est des pommes pour faire un petit cidre qui n'a pas non plus grande prétention mais que j'aime bien.

Ce soir, nous célébrons la République. Nous la célébrons comme chaque fois, dans l'histoire, qu'elle a remporté une victoire. Comme toujours, face à l'épreuve, la voici debout, fière, fidèle à ses valeurs, présente, forte, rassemblée.

Peut-être qu'en le pratiquant jeune, j'aurais pu faire du sumo, j'avais la taille nécessaire, et le poids, ça s'acquiert.

Ce bref séjour commun au fort de Brégançon ne fait que confirmer tout ce qui me sépare d'un président si imbu de ses prérogatives qu'il en arrive à traiter ses hôtes, fût-ce son premier ministre, avec une désinvolture de monarque.

On ne modifie pas la société par décret.

Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière.

Il n'y a pas d'actes sans volonté. Quand il n'y a pas de volonté, il n'y a pas d'actes.

Sarkozy, faut lui marcher dessus. Et du pied gauche, ça porte bonheur.

Un homme public doit veiller à se construire un monde personnel où on ne puisse pas l'atteindre.

Quand est-ce qu'on se tire ? C'est sinistre ici.

Au regard de l'histoire de la vie sur terre, celle de l'humanité commence à peine. Et pourtant, la voici déjà, par la faute de l'homme, menaçante pour la nature et donc elle-même menacée.

Je suis un mangeur de pomme.

On rétablira la morale publique, pas seulement en donnant l'indépendance au juge. On la rétablira en réhabilitant l'éducation civique.

La guerre est toujours la pire des solutions.

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