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Lorsque nous ramenons des animaux sauvages à la nature, nous les renvoyons simplement à ce qui leur appartient déjà. Car l'homme ne peut pas donner la liberté aux animaux sauvages, il ne peut que leur enlever.
Jacques-Yves Cousteau
La surconsommation et la surpopulation sont à la base de tous les problèmes environnementaux auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui.
L'eau et l'air, les deux fluides essentiels dont dépend toute vie, sont devenus des poubelles mondiales.
La mer, une fois qu'elle a jeté son sort, tient pour toujours dans son filet d'émerveillement.
L'avenir de la nutrition se trouve dans les océans
J'ai trouvé ma lune dans les profondeurs de la mer.
La raison pour laquelle j'aime la mer, je ne peux pas l'expliquer - c'est physique. Lorsque vous plongez, vous commencez à vous sentir comme un ange. C'est une libération de votre poids.
Il faut de la générosité pour découvrir le tout à travers les autres. Si vous réalisez que vous n'êtes qu'un violon, vous pouvez vous ouvrir sur le monde en jouant votre rôle dans le concert.
Nous disposons des tables de décompression les plus récentes et nous en avons déduit une courbe dite de sécurité, qui donne pour chaque profondeur la durée limite des plongées ne nécessitant pas d'arrêt aux fastidieux "paliers".
Nous oublions que le cycle de l'eau et le cycle de vie ne font qu'un.
Beaucoup de gens attaquent la mer, je fais l'amour avec elle.
Je suis un découvreur, mon but est d'émerveiller.
L'avenir est entre les mains de ceux qui explorent... et de toute la beauté qu'ils découvrent en traversant des frontières toujours plus reculées, ils développent pour la nature et pour l'homme un amour infini.
Toute vie fait partie d'une relation complexe dans laquelle chacun dépend des autres, prenant, donnant à et vivant avec tous les autres.
Le meilleur moyen d'observer un poisson est de devenir un poisson.
Il faut aimer la vie, même dans ses formes les moins attirantes.
Nous devons planter la mer et élever ses animaux en utilisant la mer comme fermiers plutôt que comme chasseurs. C'est en cela que consiste la civilisation : l'agriculture remplace la chasse.
Les missions impossibles sont les seules à réussir.
Chaque fois que j'utilise la raison, chaque fois que j'utilise la logique, je suis très pessimiste. Quand j'écoute mon coeur, quand j'écoute ma foi - et j'ai la foi en l'humanité - alors je deviens très optimiste.
Le bonheur pour une abeille ou un dauphin est d'exister. Pour l'homme, c'est de le savoir et de s'en émerveiller.
Un bon écologiste, c'est un type qui voit loin et qui a peu de foi dans le progrès, la science et la technique.
La mer, le grand rassembleur, est le seul espoir de l'homme. Maintenant, comme jamais auparavant, l'ancienne phrase a un sens littéral : nous sommes tous dans le même bateau.
Nous sommes des êtres humains et nous avons la foi et l'espoir.
Si nous continuons notre chemin, la faute est notre cupidité et si nous ne voulons pas changer, nous allons disparaître de la face du monde pour être remplacés par un insecte.
On aime ce qui nous a émerveillé, et on protège ce que l'on aime.
Qu'est-ce qu'un scientifique après tout ? C'est un homme curieux qui regarde à travers un trou de serrure, le trou de serrure de la nature, essayant de savoir ce qui se passe.
Pour sauver la planète, il faudrait tuer 350 000 personnes par jour.
Dès sa naissance, l'homme porte le poids de la gravité sur ses épaules. Il est boulonné à la terre. Mais l'homme n'a qu'à sombrer sous la surface et il est libre.
Parfois, nous avons la chance de savoir que nos vies ont changé, de jeter l'ancien, de prendre le nouveau et de suivre une trajectoire immuable.
Le moment est peut-être venu de formuler un code moral qui régirait nos relations avec les grandes créatures marines ainsi qu'avec celles qui sont sur la terre ferme. Mon souhait est que cela se réalise.
A peine l'homme découvre-t-il l'intelligence qu'il tente de l'impliquer dans sa propre stupidité.
Je jouais quand j'ai inventé le aqualung. Je pense que jouer est la chose la plus sérieuse au monde.
La mer est l'égout universel.
Lorsqu'un homme, pour quelque raison que ce soit, a l'opportunité de mener une vie extraordinaire, il n'a pas le droit de la garder pour lui-même.
Une terre et une humanité en équilibre, ce serait une population de cent à cinq cent millions de personnes.
Je me réveille en disant : je suis toujours en vie ; un miracle. Et donc je continue à pousser.
L'enfance, c'est le moment le plus intense de la vie.
Nous savons organiser la guerre, mais savons-nous agir quand nous sommes confrontés à la paix ?
L'humanité a probablement causé plus de dégâts à la Terre au 20ème siècle que dans toute l'histoire de l'humanité.
Nous vivons dans une interminable succession d'absurdités imposées par la logique myope de la pensée à court terme.
Les gens protègent ce qu'ils aiment.
Pour la majeure partie de l'histoire, l'homme a dû combattre la nature pour survivre ; dans ce siècle, il commence à comprendre que, pour survivre, il doit la protéger.