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Il ne faut pas jeter le manche après la cognée.
Jean-Antoine de Baïf
Absent le chat, les souris dansent.
Le surplus rompt le couvercle.
La bonne volonté trouve le moyen et l'opportunité.
... O trop vaine science, qui ne pourrait donner à l'amour guérison !
Au sortir des procès, l'on est sage.
Qui ne pétrit, bon pain ne mange.
Cessez, amis, cessez de plus me remontrer, - Vous perdez votre peine. On ne peut par sagesse, - La jeunesse et l'amour joints ensemble, donter.
D'un petit gland sourd un grand chêne.
Babillarde aronde, tais-toi.
Car un plus grand remords on ne pourrait avoir - Que celui que l'on cèle, et qui dans le coeur touche.
Si d'un vent elle entend quelque sifflante haleine, - Par le feuillage épais des chênes se ployant, - Qu'il lui semble écouter les soupirs de ma peine.
Du bâton que l'on tient on est souvent battu.
O chaude ardeur, qui d'une ardente flamme Ars ardemment mon pauvre coeur épris !
Ne méprise aussi point la santé corporelle, mais en tout mesure par un certain compas règle bien ton labeur, ton boire, et tes repas : A ne s'offenser point la mesure est très belle.
Tout autre état mondain il me déplaît de suivre : - Si l'on m'oste l'amour, sans pouvoir faire rien, - Par force et nuit et jour oisif me faudra vivre.
Femme rit quand elle peut, et pleure quand elle veut.
Bonheur gît en médiocrité, Ne veut ni maître ni valet.