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Si on a besoin de moi, je réponds avec mon coeur, ma détermination, mon expérience. J'étais en retrait total de la vie politique, ma vie avait changé. L'édifice s'écroule, et moi je laisserais faire ? Je suis prêt à me retrousser les manches deux ou trois ans pour donner un coup de main.
Jean-Louis Borloo
Je fais le pari d'Emmanuel Macron.
Protéger nos clochers oui, mais il faut aussi regarder le monde comme il est.
Je suis utile à la France.
On ne va pas se réveiller avec le Front national !
Nous sommes tous des immigrés ; seule notre date d'arrivée change.
Les climato-cyniques ne me font pas rire.
L'Europe n'a plus de projet. Il faut construire un grand plan de paix avec l'Afrique.
Il est inconcevable qu'au XXIe siècle, 75% de l'Afrique ne soit pas électrifiée.
J'ai longuement réfléchi et je fais le pari d'Emmanuel Macron. Le pari de l'audace, de la modernité, du renouvellement, et de l'action positive.
Qu'allons-nous faire ensemble ? L'homme est ce qu'il fait. C'est un chemin
Je ne suis candidat à rien, je ne suis pas en train de passer un entretien d'embauche. Je parle aux Français. Ma responsabilité est de leur dire ce que je crois en conscience : il faut jouer ce pari de l'avenir. Cela demande du courage, d'affronter quelques incompréhensions, mais au point où nous en sommes, c'est le seul chemin positif possible pour notre pays.
Inexorablement, depuis quinze ans, le fossé se creuse entre ceux dont les enfants ont un avenir et ceux dont la descendance en est privée. D'innombrables talents sont ainsi gaspillés, recevant la rage en lieu et place du diplôme.
Réaffirmant nos convictions, la France ne doit pas être une juxtaposition d'individus égoïstes et rivaux, mais la réunion d'hommes et de femmes animés par la même fierté d'appartenir à la République.
Modernité et tradition, c'est la France.
La France peut aimer ses usines.
Aujourd'hui, je suis dans une neutralité bienveillante à l'égard de la politique française.
Face au danger, il faut sonner le tocsin. Je le fais en conscience. Cette élection doit être un nouveau départ. On ne va quand même pas passer à côté de cet espoir-là !
Le seul catalyseur du choix de l'avenir, c'est Emmanuel.
Ma priorité, c'est l'Afrique !
Sarkozy, c'est le seul qui a été obligé de passer par l'Elysée pour devenir Premier ministre.
Nous sommes en train de tourner une page et Emmanuel Macron correspond à cette demande.
Moi, mon sentiment c'est qu'on est en train de remplacer le vieux monde des solidarités par le jeune monde des abandons de ceux qui ont besoin de la solidarité. En d'autres termes, il faut faire attention à ce que notre pays ne se retrouve pas dans la situation désagréable où le gratin se sépare des nouilles
Je m'engage à fond. Je veux aider Emmanuel Macron. Je n'ai ni ego, ni conditions, ni prétentions. Si on a besoin de moi, je réponds avec mon coeur, ma détermination, mon expérience.
S'il est élu, Emmanuel Macron sera un des plus jeunes chefs d'Etat, il est de la génération des Trudeau, des Renzi… C'est une bonne nouvelle, n'ayons pas peur de notre jeunesse, de son audace.
Les quartiers populaires sont la jeunesse de notre pays, on en a absolument besoin.
C'est le problème d'une monarchie qui en fait n'a plus de moyens, et ce qui me dérange c'est que les quelques moyens qu'elle a, elle a décidé d'arbitrer pour permettre à ce qui courent le plus vite de courir de plus en plus vite. Cette vision de la société, je la trouve inefficace et dangereuse
On ne parle de l'Afrique qu'en termes pas très heureux.
On est en train de remplacer le vieux monde des solidarités par le jeune monde des abandons de ceux qui ont besoin de la solidarité
Que la droite française comprenne que si Marine Le Pen est élue, ou si elle fait un très gros score, c'est eux qui seront liquidés aux législatives et leur famille politique sera liquidée.
La France est un vieux pays, mais c'est le peuple le plus jeune d'Europe. Modernité et tradition, c'est la France.