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Avoir peur est le pire péché qui existe.
Jean-Paul Belmondo
J'ai toujours travaillé pour le plaisir.
Il y a un dieu pour les ivrognes, il y a aussi un dieu pour les acteurs.
Je suis un acteur sans prix.
Grâce à Godard, j'ai pu jouer au naturel.
Cet AVC a été un coup dur mais je l'ai vaincu.
Barbara m'apporte la gaieté, la joie de vivre. C'est le plus important. Nous avons décidé d'ignorer ceux qui veulent nous faire du mal.
Les gens me disaient beaucoup de choses qui n'étaient pas vraies d'où l'envie de cette autobiographie.
Les femmes de plus de trente ans sont à leur meilleur niveau, mais les hommes de plus de trente ans sont trop âgés pour le reconnaître.
Le charme est la capacité de faire oublier aux autres que vous ressemblez à vous.
Je n'aurais jamais imaginé devenir une vedette.
On n'a pas besoin de parler de sa vie privée pour faire une carrière.
J'ai bientôt 84 ans et j'ai toujours pensé que, le jour de ma mort, les gens parleraient de moi mais qu'après, ils passeraient à autre chose. J'en suis un peu moins sûr, désormais...
Aujourd'hui je trouve qu'il y a de bons comédiens, mais pas assez de bons metteurs en scène.
Les acteurs se fâchent avec leur metteur en scène quelquefois. Mais le temps guérit tout.
Mon père et ma mère étaient le meilleur public que j'ai eu.
Je n'aurais pas cette canne, je continuerais à jouer. Ça me manque, le cinéma.
Les attentats m'ont bouleversé, que ce soit à Paris, à Nice, à Saint-Étienne-du-Rouvray. Je ne comprends pas ce monde qui semble devenu fou.
De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir. Aujourd'hui, seul le présent m'intéresse. Et il est beau.
Jeune, boxeur, je donnais bien les coups mais je n'aimais pas les recevoir.
J'aimais les cascades, le plaisir de jouer la comédie et les cascades.
Je n'ai jamais manqué de courage, ce qui fait que je suis là.
Je ne parle jamais de politique avec Delon.
Prendre des années n'est pas très grave, car chaque âge a ses plaisirs et ses bonheurs.
Je ne suis peut-être pas une pin-up, mais je suis un sacré boxeur.
Alain Delon est un frère de cinéma.
Mes parents m'ont transmis la volonté, ils m'ont toujours encouragé. La volonté a toujours été mon moteur.
Je n'ai pas le sens de la mise en scène. J'ai seulement le don de la comédie et ça m'a suffit.
À 1O ans, je me mettais dans la peau de Gary Cooper et Humphrey Bogart. N'est-ce pas cela, être acteur : jouer à... et y croire tellement que les autres y croient aussi ?
Franchement, personne ne m'inspire parmi les candidats. Mais j'irai voter, je l'ai toujours fait. Contre Marine Le Pen et contre tous les extrémismes.
J'ai été impressionné par Jean Gabin, avec qui j'ai tourné dans Un singe en hiver. Il était ce qu'il jouait.