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Quand on veut rester maître chez soi, on n'ouvre pas un commerce.
Jean-Paul Fugère
Toutes les vies ne coulent pas dans le même sens.
L'amour, à quarante ans, n'est ni moins précieux, ni moins fragile qu'à vingt.
La beauté hélas ! c'est du cinéma.
Ce n'est pas nier à la télévision son pouvoir et ses mérites que de porter parfois son regard ailleurs.
Il faut obéir à la nature, la laisser suivre son cours. On y gagne bien-être et sagesse.
Le bonheur aussi peut altérer les traits.
Dès qu'on cesse de s'agiter, les gens concluent qu'on est déprimé.
C'est rassurant de ne plus dépendre de soi-même.
La paix, comme toute métamorphose, exige une adaptation douloureuse à laquelle bien des gens se refusent.
On ne peut pas traîner avec soi indéfiniment tout ce qu'on a été, il faut faire de la place pour les expériences nouvelles.
Un abus de réflexion, souvent prétexte pour ne pas agir.
C'est effrayant, tout ce qu'on a envie de dire quand on atteint quarante ans.
Tenir l'univers dans ses bras, c'est tenir du vent.