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Le mot paix est orphelin. Il ne connaît pas sa mère qui serait : pacifier.
Jean-Paul Lebourhis
La guerre ? Un constant d'échec.
La charité. Ce sentiment qu'aime éprouver le riche pour le pauvre.
Le pouvoir est le collant à mouches. Qui s'y frotte s'y englue.
C'est l'homme qui rend l'homme semblable à la bête humaine.
Il n'y a plus d'histoire. Que des histoires. Il n'y a plus de vérité. Que des dogmes.
La mort ? La fin au goût âcre des rêves de l'homme.
Et la jeunesse ? C'est sentir la folie du monde adulte et la refuser. C'est croire aux vertus de la parole, au profond désir de paix.
La passion est le sexe de l'âme...
L'homme qui agit précède d'un pas l'homme qui réfléchit.
Nous ne regardons pas la télévision. La télévision nous regarde, nous épie, nous interroge, exploite nos faiblesses, nous hypnotise, nous effraie.
L'esprit humain est sans limite dans la férocité.
Un animal, c'est de la vie enveloppée de fourrure ou d'écailles, habitée par l'inquiétude, capable oh combien capable de tendresse, de force, de courage et de peur.
L'actionnaire est la plus belle invention du capitalisme. Le partage des responsabilités par un grand nombre. La politique de la peur, de la faim, de la misère diluée au niveau des masses qui en souffrent.
Prison : maison on ne peut plus communautaire dont personne ne possède la clé.
La diplomatie a ses raisons que l'altruisme ne connaît pas.
Les dettes c'est pas comme un repas ; ça ne se partage pas.