Citations de Joe Biden

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Monsieur Obama est le premier Afro-américain populaire, qui est intelligent, s'exprime bien et propre sur lui.

Un Noir n'est pas un Noir s'il vote pour Donald Trump.

La prochaine personne qui me dit que je ne suis pas religieux, je vais lui fourrer mon chapelet dans le cul.

Pour avancer, nous devons arrêter de traiter nos opposants comme des ennemis. Nous ne sommes pas des ennemis.

Ce virus touche tout le monde. Je mettrais en place une équipe d'experts pour retrouver notre leadership dans la lutte contre le Covid.

Je fais campagne en tant que démocrate, mais je gouvernerai comme un président américain.

Il n'y a jamais eu un jour au cours des quatre dernières années, j'ai été fier d'être son vice-président. Pas un seul jour.

C'est avec beaucoup d'honneur et d'humilité que j'accepte cette investiture au poste de président des États-Unis d'Amérique. Mais si je suis un candidat démocrate, je serai un président américain.

Le peuple américain a traversé de nombreuses épreuves mais nous les surmonterons. Les quatre prochaines années seront consacrées à renforcer la démocratie. Nous ferons prévaloir la décence et le bon sens.

Je n'adhère pas au concept, populaire dans les années 60, qui disait : Nous avons réprimé l'homme noir pendant 300 ans et l'homme blanc est maintenant bien en tête dans la course à tout ce qu'offre notre société. Pour égaliser le score, nous devons maintenant donner à l'homme noir une longueur d'avance, voire retenir l'homme blanc.

Je serai un président solidaire de nos alliés et amis, et le dirais clairement à nos adversaires : le temps des flirts avec les dictateurs est révolu.

Au cours des quatre dernières années, nous avons eu un président qui a exprimé clairement son mépris de notre démocratie, de la Constitution, de l'Etat de droit dans tout ce qu'il a fait. Donald Trump n'est pas au-dessus des lois.

Cette campagne a eu des hauts et des bas, mais, à travers elle, nous avons rassemblé notre parti et notre pays. L'heure du dernier chapitre est venue. Allons-y !

Peu de moments dans l'histoire de notre pays ont été à ce point mis au défi ou été plus difficiles que celui que nous vivons actuellement. Un virus que l'on ne retrouve qu'une fois par siècle harcèle silencieusement le pays. En un an, il a fait autant de victimes aux Etats-Unis que durant toute la durée de la seconde guerre mondiale.

Prenez la mesure de mon action et de mon coeur.

Le peuple de cette nation a parlé. Il nous a donné une victoire claire, une victoire convaincante.

Assurez-vous de deux choses. Soyez prudent - les microphones sont toujours chauds et comprenez qu'à Washington, DC, c'est une gaffe quand vous dites la vérité.

Je suis sioniste. Vous n'avez pas besoin d'être juif pour être sioniste.

Nous n'avons jamais, jamais, jamais échoué en Amérique lorsque nous avons agi ensemble. Et aujourd'hui, en ce moment et cet endroit, faisons en sorte que de recommencer, tous ensemble. Recommençons à nous écouter, à nous entendre, à nous voir. Faites preuve de respect les uns envers les autres. La politique ne doit pas être un feu qui détruit tout sur son passage.

Les mots d'un président pèsent. Au mieux, la parole d'un président peut apaiser, au pire elles peuvent inciter à commettre des actes délictueux.

Un travail urgent nous attend. Maîtriser cette pandémie et faire vacciner la nation contre ce virus.

Si ça avait été une manifestation du mouvement Black Lives Matter (Les vies noires comptent), ils auraient été traités très différemment de la foule hargneuse qui a attaqué le Capitole, nous savons tous que c'est vrai et c'est inacceptable.

C'est le jour de l'Amérique. C'est le jour de la démocratie. Une journée d'histoire et d'espoir, de renouveau et de détermination. L'Amérique a été testée à nouveau et l'Amérique a relevé le défi. Aujourd'hui, nous célébrons le triomphe non pas d'un candidat mais d'une cause, la cause de la démocratie. Le peuple – la volonté du peuple – a été entendu, et la volonté du peuple a été respectée.

Je serai un allié de la lumière, pas des ténèbres.

J'ai fait campagne pour restaurer l'âme de l'Amérique.

Ici et maintenant, je vous le promets : si vous me faites confiance et me confiez la présidence, je ferai ressortir le meilleur de nous, pas le pire. Je serai un allié de la lumière et pas des ténèbres.

Notre histoire a été une lutte constante entre l'idéal américain selon lequel nous avons tous été créés égaux et la dure et horrible réalité qui est que le racisme, le nativisme, la peur et la diabolisation nous déchirent depuis longtemps. La bataille est perpétuelle et la victoire n'est jamais assurée.

L'interdiction des armes à feu est une idée dont le temps est venu.

La Bible nous enseigne qu'il y a une saison pour tout, un temps pour construire, un temps pour récolter et un temps pour semer, et un temps pour guérir. Le moment est venu de guérir en Amérique.

Le temps des flirts avec les dictateurs est révolu.

Serons-nous la génération qui effacera enfin la tache du racisme de notre histoire nationale ? Je pense que nous sommes à la hauteur. Je pense que nous sommes prêts.

Croyez-moi. Il ne se passera pas six mois avant que le monde ne mette à l'épreuve Barack Obama, comme il l'avait fait avec Kennedy [...]. Écoutez, nous allons avoir une crise internationale, une crise fabriquée, pour voir de quel bois se chauffe ce gars-là [...]. Je vous garantis que cela va arriver.

Le président continue à nous dire que le virus va disparaître. Il continue à espérer un miracle. Je vais lui apprendre quelque chose : il n'y aura pas de miracle. Notre économie ne retrouvera jamais sa vigueur tant que nous n'aurons pas affronté ce virus.

Mes compatriotes, dans le travail qui nous attend, nous aurons besoin les uns les autres. Nous avons besoin de toutes nos forces pour persévérer pendant ce sombre hiver. Nous entrons dans ce qui pourrait être la période la plus dure et la plus meurtrière du virus. Nous devons mettre de côté la politique et enfin affronter cette pandémie comme une nation unie

L'actuel président a drapé l'Amérique dans les ténèbres bien trop longtemps. Trop de colère, trop de crainte, trop de divisions.

Il ne s'agit pas seulement de gagner des voix, il s'agit de gagner les coeurs.

Je suis peut-être irlandais, mais je ne suis pas stupide.

La flamme de la démocratie a été allumée dans cette nation il y a longtemps. Et nous savons que rien, pas même une pandémie ou un abus de pouvoir, ne peut l'éteindre.

L'innovation peut se produire uniquement là où vous pouvez respirer librement.

Je travaillerai aussi dur pour ceux qui n'ont pas voté pour moi, que pour ceux qui m'ont choisi.

Je serai le président de tous les Américains. Et je vous promets de me battre pour ceux qui ne m'ont pas soutenu comme pour ceux qui l'ont fait.

Peut-être le meurtre de George Floyd a-t-il été le point de rupture.

Lorsque vous faites appel aux peurs et aux angoisses des gens, vous pouvez gagner..

Je défendrai toujours nos droits humains et la dignité.

Aucun Américain ordinaire ne se soucie de ses droits constitutionnels.

Le coup dévastateur, que nous avons subi le 11 septembre résonne encore dans toute la société Américaine.

C'est facile d'être vice-président - vous n'avez rien à faire.

La raison pour laquelle je suis démocrate est que l'essence du Parti démocrate est l'aversion pour l'abus de pouvoir d'une part, et l'idée que tout le monde a le droit d'être traité avec dignité.

Pendant trop longtemps dans cette société, nous avons célébré l'individualisme sans retenue sur la communauté commune.

Vous savez que vous réussissez quand vous regardez vos enfants et que vous vous rendez compte qu'ils se sont avérés meilleurs que vous.

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