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On s'attache même aux pires endroits, c'est comme ça. Comme le graillon au fond des poêles.
Joël Egloff
Avec un visage aussi commun que le mien, on ne passe pas inaperçu. Deux yeux, un nez, une bouche, ça rappelle forcément toujours quelqu'un à quelqu'un.
Il faut imaginer un sale temps par une nuit polaire. C'est à ça qu'elles ressemblent nos belles journées.
Il y a deux personnes absolument indispensables en ce bas mode. La sage-femme et le fossoyeur. L'une accueille, l'autre raccompagne. Entre les deux, les gens se débrouillent.
Il faudrait déjà que je commence par un bon petit déjeuner. C'est important, paraît-il, de commencer la journée avec quelque chose de chaud dans le ventre comme le Soleil.