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Ce qui rend heureux, c'est d'être heureux.
Johnny Hallyday
La scène, les coulisses, c'est ma vie depuis que je suis enfant. À huit ans, je voyais passer des filles nues devant moi dans les cabarets, je trouvais ça normal.
J'ai longtemps transformé le bonheur en enfer.
Quand je monte sur scène, je n'ai plus d'appréhension sur rien, j'ai confiance.
La musique, j'en fais ; alors j'en écoute peu
Je me régale de voir gran-dir mes petites, je me réjouis de voir ma grande fille Laura aller mieux, de consta-ter que mon fils David fait des choses qui l'in-té-resse et qu'il soit bien dans sa peau.
Je ne suis jamais seul, à moins que je lis.
On peut pas être élevé dans le confort et avoir la rage au ventre. Je ne crois pas aux fils à papa qui réussissent. Il faut en avoir bavé. Il faut comprendre les gens.
Si on n'avait pas perdu une heure et quart, on serait là depuis une heure et quart.
La retraite... quel mot terrifiant !
Pour moi, je ne conçois pas de finir ma vie sans faire le métier que je fais. Ma vie serait d'un ennui mortel.
La poudre et le hasch circulent à mort chez les musiciens. Il n'y a pas à s'en vanter, je n'en suis pas fier, c'est ainsi, c'est tout. Mais il faut bien savoir que nos chansons, on ne les sort pas forcément d'une pochette-surprise.
Je ne peux pas dire que j'ai eu une enfance heureuse, mais je m'en suis sorti. Je suis un combattant. Je ne m'avoue jamais vaincu.
C'est Jésus-Christ, le premier héros de ma jeunesse. Il arrivait à attirer les foules !
Pour faire un couple, il faut être deux.
Je n'ai jamais dit "Ah que" dans une phrase, je vous le promets.
J'ai fait un bon boulot avec moi-même, tout seul. Je me suis construit par rapport à mes rêves et je ne m'en suis pas trop mal sorti.
Je ne suis en fait qu'un vieux cow-boy fatigué de son cheval et du désert.
Tout est ques-tion d'amour dans la vie.
J'arrêterai de chanter le jour de ma mort.
Quand on vit et que tout va bien, on ne se rend pas compte de ce qu'on peut perdre.
Si je dois dix centimes au fisc, on vient me les saisir. Un jour, les huissiers ont même emporté mes blousons.
J'envoie les sentiments dans la gueule des gens, dans leur cerveau, dans leur corps.
J'ai beaucoup écouté pour apprendre, j'ai beaucoup appris par la vie, mais pas par l'école.
Je ne suis jamais allé voir un psychiatre parce que je ne pourrais pas dévoiler ce que j'ai au fond de moi à un étranger.
Je vis au jour le jour, pour demain, pas pour hier.
La maladie c'est dans la tête, moi je suis pas malade, je vais très bien, merci. Soyons heureux, on est heureux de vivre, on est toujours là
Je n'aime pas la médiocrité, je pense que la gauche pousse vers ça.
Je crois qu'il ne faut pas penser à vieillir, ou à l'âge. On a l'âge qu'on a. Il y a des gens jeunes qui sont déjà vieux. Il y a des gens plus âgés qui sont encore jeunes. Ça ne veut rien dire.
Je ne m'avoue jamais vaincu. J'ai lutté, beaucoup, contre moi-même aussi, pour m'en sortir.
Pendant des années, j'ai toujours désiré une vie de famille et je ne suis jamais arrivé à la construire. Quelque part, dans ma tête, j'étais complètement déstabilisé par le manque affectif.
On a souvent dit que je m'étais barré pour ne pas payer d'impôts. C'est en partie vrai, mais c'est aussi parce que c'est épuisant cette ambiance.
Bien triste cette fin de semaine. Mes pensées sont pour toute les familles des victimes.
Ma devise est : exister, c'est insister !
Je dois la vie à Michael Jackson
Claude François, c'était un vrai travailleur. Il bossait dix fois plus que moi. Mais il n'arrivait jamais à faire ce que je faisais. Ca le rendait fou. Jaloux. Il draguait mes nanas et, en désespoir de cause, il se tapait mes ex.
Je voulais faire Elvis, je voulais faire James Dean, et je suis devenu moi.
La première fois que je suis mort, je n'ai pas aimé ça, alors je suis revenu.
Je suis souvent seul dans la vie, mais sur scène jamais... Ma drogue à moi, c'est le public.
Si Laeticia et moi on se sépare un jour, ce ne sera pas moi qui la quitterai. Ou plutôt, je sais que je ne la quitterai jamais pour une autre. Et puis, si c'est elle qui me quitte, eh bien, je sais aussi que je ne me remarierai jamais.
Je ne bois plus d'alcool, je fais plus de sport et j'ai deux petites filles qui me donnent une énergie incroyable.
Je me méfie des gens trop heureux : ils doivent avoir des choses à cacher.
On subit tous l'image qu'on véhicule, un jour, elle se mêle si intimement à notre vérité qu'on ne peut plus les séparer. Je pense que ça a été le cas pour Sardou, à force de passer pour un vieux con réac, il l'est devenu.
Je vis avec moi-même tous les jours.
Je serais incapable de vivre avec un imbécile. Parce que l'amour et la beauté, c'est bien, mais au bout d'un moment, il faut parler...
Je suis très ami et je serai ami toute ma vie avec Nicolas Sarkozy, parce que je le connais depuis très longtemps, et c'est lui qui m'a marié avec Laeticia. (...) M. Hollande sera certainement, et je l'espère, un très bon président pour la France.
C'est aberrant de voter pour le Front National, ça me fait peur.
Je n'ai jamais cherché le pourquoi du comment...
Le problème, c'est que, à force de faire des villes différentes tous les jours, je finis par oublier leurs noms
On a bravé tant de tempêtes qu'on ne s'est même pas vu grandir. Dis-moi que la vie est encore plus belle quand on n'a plus 20 ans.