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Une journée, une vie.
Koan Zen
Les ignares se délectent du faux clinquant et de la nouveauté. Les gens cultivés trouvent leur plaisir dans l'ordinaire.
En ultime analyse, toute chose n'est connue que parce que l'on veut croire la connaître.
Lorsque le coeur est dépouillé de tout désir, c'est là la voie.
Recherchez la liberté et vous deviendrez esclave de vos désirs. Recherchez la discipline et vous trouverez la liberté.
Le soleil de midi ne fait pas d'ombre.
Lorsqu'il n'y a plus rien à faire, que faites-vous ?
La haine seule fait des choix.
L'homme regarde la fleur, la fleur sourit.
Quel est le bruit d'une seule main qui applaudit ?
Jour après jour, c'est un bon jour.
Quel était votre visage avant la naissance de vos parents ?
La courbe ne peut inclure la ligne droite.
Maison pauvre, voie riche.
Un de gagné, un de perdu.
Le bambou existe au-dessus et en dessous de son noeud.
Ce qui te manque, cherche-le dans ce que tu as.
La lumière existe dans l'obscurité ; ne voyez pas avec une vision obscure.
La voie est sous vos pieds.
La clarté de la lune dépend de l'ombre des pins.
Quand un homme ordinaire atteint le savoir, il est sage. Quand un sage atteint la compréhension, il est un homme ordinaire.
Qui excelle au tir ne touche pas le centre de la cible.
Une illusion peut-elle exister ?
Pour savoir si l'eau d'un bol est chaude ou froide, il faut y mettre le doigt... Il ne sert à rien de discuter.
Les vivants sont dans le corbillard, les morts suivent le cortège.
L'homme regarde le miroir, le miroir regarde l'homme.
J'éteins la lumière, où va-t-elle ?
Non anxieux ici, non anxieux toute la vie.
L'heure me regarde et je regarde l'heure.
A esprit libre, univers libre.
Le courant rapide n'a pas emporté la lune.
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