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Nous étions comme deux univers qui semblaient s'opposer, destinées que rien n'aurait pu distraire.
Lonepsi
Tu es maladroite comme un enfant qui se précipite, mais je te pardonne car tu m'as sauvé de ce précipice.
La légèreté est confortable, plus confortable que n'importe quel acharnement.
J'avoue rarement mes sentiments, il m'est même dur d'émettre un signe, il y a des fleurs étranges donc il faut bien taire les racines.
Bien que mes sentiments peuvent tenir dans le noyau d'un atome, j'aime sentir le parfum de sa danse effleurer ma peau.
C'est lorsque que la nuit tombe que je tombe amoureux ; elle atténue mes peines, sa couleur est savoureuse.
La nudité de nos pensées restera secrète le temps qu'il faut.
Peu m'importe la distance, si je te veux je t'aurai, y compris s'il faut traverser l'équivalent d'un torrent.
l'hymne de l'amour se cultive ou il s'exploite ?
Pourquoi pour remonter la pente je n'peux pas remonter le temps ? Cette idée est si absurde, qu'elle est d'emblée décevante.
Ma raison s'est faite piétiner par un troupeau de sentiments.
Ressens l'amour de tes proches comme s'il pouvait s'évaporer lors d'un soir brumeux, ressens ta vie comme si elle obéissait à la trame d'un récit fabuleux.
La compagnie d'un autre peut rendre l'univers bien moins répugnant, les secondes que tu vis moins pesantes et chaque instant passé plus poignant.
Faites qu'il pleuve, que la pluie efface nos erreurs, faites qu'il pleuve, que l'orage tombe.
Ressens ton enfance autrement qu'un souvenir joliment brûlé, en fait, ressens que le gosse qui vit en toi est plus vivant que jamais.
Le temps qui passe autour de nous est un vase rempli de petits miracles, je suis certain que sans cela un poison mortel peut devenir vital.
Je pourrai débrancher le soleil si un jour tu ne pouvais plus cligner des yeux, ton absence est si vénéneuse.
Lorsque tu me parles je t'écoute comme si, c'était les derniers mots que tu prononçais.
Si tu aperçois mon coeur, dis lui de revenir sans toi. Jette-le moi avec prudence comme un enfant d'une balançoire.
Tes yeux sont le filtre par lequel l'instant peut devenir un souvenir, aussi te regarder par le reflet fera que je ne te porte aucun rêve.
Tu viens désorienter mes sens, réveiller mon adolescence. Tu es ma seconde naissance, le frein qui contient mon essence.
Si ça n'marche pas, est-ce qu'il faut courir à sa perte ?
La nuit c'est le noir illimité contredit par quelques étoiles, quand je veux au mieux me définir, je ne parle pas d'mes exploits.
Le bonheur il y a des jours avec et des mois sans.
Lorsque j'étais en cours, je ne levais jamais la main : Aujourd'hui c'est impressionnant la façon dont j'aime les mots. Comme un trait d'union c'est à ces mots que je me suis rattaché.