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Que la nation reprenne son heureux caractère.
Louis XVI
Ah, la belle statue, oh, le beau piedestal ! - Les Vertus sont à pied et le Vice à cheval !
Je fais assez ce que tout le monde désire pour qu'on fasse une fois ce que je veux !
Un souverain ne saurait rien faire de plus utile que d'inspirer à sa nation une grande idée d'elle-même.
C'est légal parce que je le veux.
Prenons-y garde, nous aurons peut-être un jour à nous reprocher un peu trop d'indulgence pour les philosophes et pour leurs opinions. La philosophie trop audacieuse du siècle a une arrière-pensée.
C'est une maxime bien essentielle dans le gouvernement, de prévenir que les peuples ne tombent dans une sorte d'indifférence qui leur fasse penser qu'il est égal de vivre sous une domination ou sous une autre.
Maman ! Est-ce que hier n'est pas fini ?...
L'égalité, cette marotte de jongleur.
Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens.
Peuple, je meurs innocent !
Je subirai le sort de Charles Ier, et mon sang coulera pour me punir de n'en avoir jamais versé.
Je pardonne aux auteurs de ma mort. Je prie Dieu que mon sang ne retombe pas sur la France.
Il faudrait au moins que l'archevêque de Paris crût en Dieu !
Le peuple français est incapable d'un régicide.
- C'est une révolte ? - Non, Sire, c'est une révolution.
Voici, Madame, le roi des vins et le vin des rois.
On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes.
Mon Dieu, guidez-nous, protégez-nous, nous régnons trop jeunes !
J'ai besoin d'être entouré d'honnêtes gens qui aient le courage de m'avertir de mon devoir.
L'amour de mon peuple a retenti jusqu'au fond de mon coeur. Ah ! l'on peut commander ailleurs, mais c'est en France qu'on règne.
Rien.
Il y a quatre droits naturels que le prince est obligé de conserver à chacun de ses sujets ; ils ne les tiennent que de Dieu et ils sont antérieurs à toute loi politique et civile : la vie, l'honneur, la liberté et la propriété.