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Je ne suis pas surpris qu'il soit à la hauteur. Ce que j'ai vu et découvert dans sa campagne, c'est son énorme concentration, sa connaissance des dossiers, et son obsession à ne pas faire de conneries.
Manuel Valls
Notre culture, nos artistes, nos créateurs, par leur génie, leur audace, insufflent partout dans le monde ce "désir de France".
Moi, je veux être le Premier ministre qui remet la culture comme la grande priorité du quinquennat de François Hollande, parce que la culture, c'est la vie.
On nous dit que la gauche n'a aucune chance. Mais rien n'est écrit. Nos vies valent mieux que les pronostics.
Soutenir les artistes, soutenir la culture, c'est aimer la France. Car la France, patrie des beaux-arts et des belles lettres, n'est jamais plus belle, jamais si grande, que quand sa culture rayonne, resplendit, attire et rassemble.
La culture, c'est un moteur économique pour notre pays, pour son rayonnement - grâce à notre langue, la francophonie - pour son attractivité.
L'offre culturelle ne peut être dans les mains exclusives de géants tels qu'Amazon ou Netflix
Marianne n'a pas de race, elle n'a pas de couleur.
La force de notre pays, c'est sa diversité, son métissage, son amour pour ses valeurs qui restent profondément universelles.
A gauche, il faut qu'on se dépasse. Le problème n'est pas d'organiser une primaire qui irait de Mélenchon à Macron. Parfois, il y a des positions irréconciliables à gauche et il faut l'assumer.
Sur la place des femmes nous ne pouvons transiger. Marianne, le symbole de la République, elle a le sein nu parce qu'elle nourrit le peuple, elle n'est pas voilée parce qu'elle est libre ! C'est ça la République ! C'est ça Marianne !
Il faut transformer de fond en comble le fonctionnement du PS, nous dépasser, tout changer : le nom, parce que le mot socialisme est sans doute dépassé. Il renvoie à des conceptions du XIXe siècle.
Pour ces ennemis qui s'en prennent à leurs compatriotes, qui déchirent ce contrat qui nous unit, il ne peut y avoir aucune explication qui vaille. Car expliquer, c'est déjà vouloir un peu excuser.
Il faut en finir avec la gauche passéiste, celle qui s'attache à un passé révolu et nostalgique, hantée par le surmoi marxiste et par le souvenir des Trente Glorieuses.
Bien sûr, nous sommes un peuple qui se retrouve d'abord dans ses valeurs. Mais si nous sommes français, ce n'est pas à travers nos origines, nos religions ou notre couleur de peau.
Et moi, j'aime l'entreprise, j'aime l'entreprise !