Images
Ma poésie est comme un brasero en été, ou un éventail en hiver. Elle va contre le goût populaire ; elle est inutile.
Matsuo Bashō
Parfois les nuages reposent les gens d'admirer la lune
Tristesse au coeur. - Quand je t'entends, coucou, - ma solitude est plus profonde...
A un piment ajouter des ailes : une libellule rouge !
Encore une année passée, - Et je porte toujours - mes sandales et mon chapeau de pélerin.
Réveille-toi ! réveille-toi ! - Tu deviendras mon ami, - O, petit papillon endormi.
Dans mon coeur, bien des choses... - Qu'elles aillent au gré - Des mouvements du saule.